TRIBOK

Décembre 2002... Dans une cave du fin fond de la vallée du Florival, quelque chose se trame ! Quatre jeunes garçons avides de gloire et de filles faciles ont l'idée lumineuse et follement originale de créer un groupe de rock pour arriver à leur fin…

Après quelques mois passés à se faire la main sur des reprises, Thomas (Guitare et vociférations), Jérôme (Batterie), François (Basse) et Vincent (Guitare mélodique) commencent à travailler sur leurs premières "compos". Spontanément, leur répertoire s'inscrit dans un registre rock nerveux et sombre aux influences contrastées allant de la chanson française au métal en passant par le grunge…

La vie estudiantine et ses rebondissements amènent les Tribok (C'est comme ça qu'on les as appelé) à faire des rencontres…Et c'est ainsi que Marie-Anne, et son violoncelle, intègrent le groupe en 2004. Qui l'eu crut ? Un tel instrument, dans un tel groupe? Mais au fil des répètes, les réticences laissent place à l'enthousiasme. Il faut l'avouer, c'est grâce à cette arrivée que la musique de Tribok évolue et se singularise. Le violoncelle apporte une touche de finesse qui s'accorde parfaitement avec le côté mélancolique de certains textes.

Rapidement, Tribok enregistre une première démo « En équilibre » (2004) qu'ils diffusent à quelques centaines d'exemplaires au cours de l'année 2005. Les concerts s'enchaînent, les inévitables pains et soucis techniques aussi. Malgré cela, le groupe bénéficie d'un accueil plutôt favorable qui lui permet de jouer régulièrement sur les scènes de la région. Ces années de « maturation » scénique n'ont cependant pas suffit à apaiser les prémices rageuses révélées dès les premiers balbutiements du groupe. Après une année 2006 ponctuée de beaux concerts notamment au Grillen, au Noumatrouff et au Festival Mix'Thur, le groupe enregistre un maxi 5 titres en studio début 2007.

Septembre de la même année, François quitte la formation après cinq années de bons et loyaux services (concerts, et fêtes en tous genres). Le groupe met quelques mois à trouver un nouveau bassiste et à remettre un set « sur pied ». C'est finalement l'arrivée de Will à la basse qui permet à Tribok, au printemps 2008, de sortir de sa léthargie…

C'est donc toujours empreint de la même hargne, mais aussi de la même mélancolie que Tribok revient plus insolent que jamais avec de nouvelles compos et avec la ferme intention de se faire entendre sur scène.


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