Brassens, 25 ans déjà
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boulette
Mamz
Ricky Banlieue
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Brassens, 25 ans déjà
PARIS (AP) -- Aurait-il goûté ces hommages aux grandes dates anniversaire? Il y a un quart de siècle, le 29 octobre 1981, Georges Brassens s'en allait à 60 ans tout juste, fauché par un cancer.
Pour les 25 ans de sa mort, qui coïncident à quelques jours près avec le 85e anniversaire de sa naissance en 1921 à Sète, la mémoire du poète-musicien, étranger aux mondanités, donne lieu à toute une série de célébrations.
En mots et en images, d'abord, avec l'ouvrage d'un de ses grands amis, Mario Poletti, "Brassens me disait" (Flammarion), qui propose photographies, anecdotes, manuscrits, et brouillons inédits pour éclairer la vie d'un homme discret, aux amitiés indéfectibles, débordant de générosité et d'humour.
Les hommages sont aussi musicaux à travers des manifestations dédiées à l'oeuvre de l'artiste dans plusieurs villes et une tournée de Maxime Le Forestier qui chante Brassens (accompagnée de CD et d'un DVD).
Mercury sort de son côté des coffrets de CD de Brassens et de DVD ainsi qu'un album-hommage pour saluer l'univers de ce fils de maçon, qui travailla comme ouvrier chez Renault avant de se lancer dans la chanson qu'il marqua de son impertinence et de son humanisme. "Putain de toi, un hommage à Georges Brassens" réunit ainsi Tété, Pauline Croze, Olivia Ruiz, Yuri Buenaventura, Dionysos, Carla Bruni, Renan Luce ou Grand Corps malade pour de nouvelles reprises aux arrangements folk, jazzy ou salsa.
Le disque prolonge "Les oiseaux de passage", sorti cinq ans plus tôt et sur lequel figuraient Miossec, Bénabar, les Têtes Raides, Yann Tiersen ou Juliette.
Auteur des "Copains d'abord", du "Gorille", de la "Chanson pour l'Auvergnat" ou de la "Mauvaise réputation", celui qui chanta des poèmes de Victor Hugo, Louis Aragon ou Paul Fort, aurait probablement apprécié ces entrées dans son monde où par la grâce de ses textes parfois censurés-, conventions, bassesses et hypocrisie de la société prenaient un solide coup dans l'aile.
A Sète, sa ville natale, le souvenir tient en une série de colloques, conférences, ouvrages et autres manifestations, à l'heure où l'Espace Georges Brassens, qui fête cette année ses 15 ans, s'apprête à faire peau neuve en vue d'une réouverture fin novembre. Le lieu alliant techniques de l'image et du son propose au public de se laisser guider par la voix de Brassens le temps d'une visite offrant films et récitals inédits. AP
Pour les 25 ans de sa mort, qui coïncident à quelques jours près avec le 85e anniversaire de sa naissance en 1921 à Sète, la mémoire du poète-musicien, étranger aux mondanités, donne lieu à toute une série de célébrations.
En mots et en images, d'abord, avec l'ouvrage d'un de ses grands amis, Mario Poletti, "Brassens me disait" (Flammarion), qui propose photographies, anecdotes, manuscrits, et brouillons inédits pour éclairer la vie d'un homme discret, aux amitiés indéfectibles, débordant de générosité et d'humour.
Les hommages sont aussi musicaux à travers des manifestations dédiées à l'oeuvre de l'artiste dans plusieurs villes et une tournée de Maxime Le Forestier qui chante Brassens (accompagnée de CD et d'un DVD).
Mercury sort de son côté des coffrets de CD de Brassens et de DVD ainsi qu'un album-hommage pour saluer l'univers de ce fils de maçon, qui travailla comme ouvrier chez Renault avant de se lancer dans la chanson qu'il marqua de son impertinence et de son humanisme. "Putain de toi, un hommage à Georges Brassens" réunit ainsi Tété, Pauline Croze, Olivia Ruiz, Yuri Buenaventura, Dionysos, Carla Bruni, Renan Luce ou Grand Corps malade pour de nouvelles reprises aux arrangements folk, jazzy ou salsa.
Le disque prolonge "Les oiseaux de passage", sorti cinq ans plus tôt et sur lequel figuraient Miossec, Bénabar, les Têtes Raides, Yann Tiersen ou Juliette.
Auteur des "Copains d'abord", du "Gorille", de la "Chanson pour l'Auvergnat" ou de la "Mauvaise réputation", celui qui chanta des poèmes de Victor Hugo, Louis Aragon ou Paul Fort, aurait probablement apprécié ces entrées dans son monde où par la grâce de ses textes parfois censurés-, conventions, bassesses et hypocrisie de la société prenaient un solide coup dans l'aile.
A Sète, sa ville natale, le souvenir tient en une série de colloques, conférences, ouvrages et autres manifestations, à l'heure où l'Espace Georges Brassens, qui fête cette année ses 15 ans, s'apprête à faire peau neuve en vue d'une réouverture fin novembre. Le lieu alliant techniques de l'image et du son propose au public de se laisser guider par la voix de Brassens le temps d'une visite offrant films et récitals inédits. AP
Re: Brassens, 25 ans déjà
ben jusqu'à peu j'savais pas qu'il avait que 60 ans qd il etait mort et qu'il etait mort d'un cancer ... j'étais persuadé qu'il avait 80 ans qd il est mort
Re: Brassens, 25 ans déjà
Tout comme toi Mamz
On savais qu'il était mort, c'est déjà ça
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boulette- Les Mots qui Courent
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Re: Brassens, 25 ans déjà
C'est comme ça Ricky ... dès que tu les sort d'urgences et autres séries .... y'a plus personne
grognonjc- Les Mots qui Courent
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Re: Brassens, 25 ans déjà
moi non plus je savais pas
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Re: Brassens, 25 ans déjà
incultes hommes moi non plus
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Re: Brassens, 25 ans déjà
On d'vait ête trop jeunes, c'est pour cha qu'on savait pas
boulette- Les Mots qui Courent
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Re: Brassens, 25 ans déjà
ah bah non quand meme juste qu'il avait que 60 nas !
Rastalion69- Rue d'la Gouaille
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Re: Brassens, 25 ans déjà
bah j'ai d'autres sujets d'interet que la mort des gens ... dans 50 ans ça m'interessera p'tet plus et j'lirai avec interet les rubriques necro
Re: Brassens, 25 ans déjà
Mamzelle Bulle a écrit:bah j'ai d'autres sujets d'interet que la mort des gens ... dans 50 ans ça m'interessera p'tet plus et j'lirai avec interet les rubriques necro
Moi aussi
grognonjc- Les Mots qui Courent
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Re: Brassens, 25 ans déjà
40 inédits de Brassens révélés
La quarantaine de textes, sans musique, sera dévoilée au public en mars à la Cité de la Musique pour l'exposition "Brassens ou la liberté".
Trente ans après sa mort, environ quarante inédits de Georges Brassens ont été mis au jour. Il s'agit de titres de jeunesse, pour la plupart sans partition musicale datant de la période 1938-1952, avant l'enregistrement de ces disques, détaille Le Parisien ce lundi.
Le compositeur Olivier Daviaud, connu pour ses collaborations avec Jacques Higelin ou Olivia Ruiz, a déjà entrepris de mettre en musique ces inédits. Les visiteurs de l'exposition pourront entendre ces chansons. Mais la sortie d'un premier CD est d'ores et déjà prévue.
ah! business quand tu nous tiens...
La quarantaine de textes, sans musique, sera dévoilée au public en mars à la Cité de la Musique pour l'exposition "Brassens ou la liberté".
Trente ans après sa mort, environ quarante inédits de Georges Brassens ont été mis au jour. Il s'agit de titres de jeunesse, pour la plupart sans partition musicale datant de la période 1938-1952, avant l'enregistrement de ces disques, détaille Le Parisien ce lundi.
Le compositeur Olivier Daviaud, connu pour ses collaborations avec Jacques Higelin ou Olivia Ruiz, a déjà entrepris de mettre en musique ces inédits. Les visiteurs de l'exposition pourront entendre ces chansons. Mais la sortie d'un premier CD est d'ores et déjà prévue.
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jeancle- Assistant
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