Caracol
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Caracol
tres tres sympa la cousine quebecoise !!!
http://www.caracolmusique.com/
http://www.myspace.com/caracolmusique
Québec
16/09/2008 -
La Montréalaise Carole Facal a fait le tour de la planète grâce au succès de Dobacaracol, le duo de chanson métisse qu’elle formait avec son amie Doriane Fabreg. L’aventure terminée, elle offre aujourd’hui L’Arbre aux parfums, un premier album solo intimiste et exutoire.
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Il ne s’agit que d’une nouvelle coiffure, après tout, mais elle a valeur de symbole. Désormais, Carole Facal ne porte plus ces longues nattes qui, à l’époque de Dobacaracol, étaient un élément de scène aussi marquant que le djembé qu’elle tenait à sa taille.
Sur la pochette de L’Arbre aux parfums, son premier album solo lancé la semaine dernière au Québec, la musicienne a les épaules bien dégagées, et le regard qui tombe, comme si elle regardait où elle mettait les pieds. Où ça ? Droit devant, tête baissée, répond-elle. "J’avance vite. Je sais ce que j’ai envie de faire. J’ai toujours eu le caractère de quelqu’un qui fonce", dit Carole. Joli paradoxe : la demoiselle est pressée de retrouver son public, alors que son nom de scène, Caracol, est un mot espagnol qui se traduit par… escargot.
Ainsi, à peine un an après que Dobacaracol a posé ses valises, après quatre cent vingt-cinq concerts donnés en trois ans, dans seize pays, la Montréalaise est sur les blocs de départ, déjà prête à reprendre la route. Avec de toutes nouvelles compositions dans ses valises, servies par une direction musicale cosmopolite, débarrassées des références world beat de la pop passe-partout de Dobacaracol, un répertoire qu’elle n’entend d’ailleurs pas revisiter lors de sa prochaine tournée. "Je veux vraiment repartir à neuf, tourner la page sur cette aventure…"
Pour ceux qui ont apprivoisé la nature sauvage, mais doucement accrocheuse, des sonorités africaines, afro-latines et pop de Dobacaracol, la transformation ne sera pas déconcertante. Carole d’admet elle-même : "Dans Dobacaracol, le côté world ne venait pas tout à fait de moi. Ma passion, c’est les chansons".
Franchement chanson
Les chansons telles quelles, telles qu’on les découvre cette fois sur L’Arbre aux parfums, faites de guitares acoustiques, de rythmiques pop assez modernes, de chaudes sonorités folk. Avec quelques touches de jazz au niveau des arrangements, et même un vibrant hommage au son rocksteady jamaïcain, parfaitement restitué sur la chanson Le Livre de la colère. Deux chansons en anglais (Cold Box et The Laws of Sadness) trouvent même leur place sur l’album. "J’ai trois langues, dit Carole. Le français, l’espagnol – mon père est d’origine uruguayenne – et l’anglais. J’ai vécu dans l’Ouest canadien, dans le Vermont, à l’époque où je faisais de la planche à neige de compétition. Ça me vient naturellement… "
Or, si le nouveau look de Carole surprend, imaginez alors le choc lorsque la rumeur s’est confirmée l’hiver dernier. Comment, Dobacaracol, l’une des success stories de la chanson francophone québécoise des dernières années, mis en veilleuse après seulement deux albums – dont Soley (distribué par Wagram), celui qui a fait des deux jeunes femmes des globe-trotters ?
"Mon projet solo a pris tout le monde de court", à commencer par les patrons du label Indica, qui avaient d’autres beaux plans pour le duo. "L’aventure Dobacaracol a été positive, mais extrême, à bien des égards. Ç’a été pour moi l’occasion de grandir, de réfléchir beaucoup, de vivre en vase clos avec un groupe de musiciens exceptionnels, je n’avais jamais connu quelque chose d’aussi intense."
Rencontre avec un ukulélé
Le retour au bercail s’est cependant vécu différemment pour Doriane et Carole. La première avait besoin de faire une pause. La deuxième brûlait de reprendre du collier, de retrouver la scène. Les premières chansons ont été écrites durant l’ultime tournée de Dobacaracol, à la faveur d’une rencontre inattendue entre la musicienne… et un ukulélé. "Le ukulélé a été l’élément déclencheur, explique-t-elle. Je l’ai vu dans la vitrine d’une boutique en Autriche, c’est comme s’il m’appelait. En tournée, c’était parfait : tout petit, au son délicat qui ne dérange personne, même que les musiciens qui nous accompagnaient se sont pris d’affection pour ce petit instrument !". Une poignée de chansons étaient déjà complétées lorsque Dobacaracol a mis fin à son tour du monde. Les autres ont été écrites ce printemps, et l’album fut bouclé, enregistré, mixé, à la fin du mois de juillet. Pourtant, de L’Arbre aux parfums se dégage une sérénité certaine, en dépit des thèmes parfois durs et de l’urgence qui anime Caracol. "Ça ne faisait pas mon affaire de prendre une année sabbatique !", dit-elle, le sourire dans la voix. L’album lancé, une dizaine de concerts sont déjà prévus aux Québec, en attendant la sortie française de son premier album.
http://www.caracolmusique.com/
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Québec
16/09/2008 -
La Montréalaise Carole Facal a fait le tour de la planète grâce au succès de Dobacaracol, le duo de chanson métisse qu’elle formait avec son amie Doriane Fabreg. L’aventure terminée, elle offre aujourd’hui L’Arbre aux parfums, un premier album solo intimiste et exutoire.
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Il ne s’agit que d’une nouvelle coiffure, après tout, mais elle a valeur de symbole. Désormais, Carole Facal ne porte plus ces longues nattes qui, à l’époque de Dobacaracol, étaient un élément de scène aussi marquant que le djembé qu’elle tenait à sa taille.
Sur la pochette de L’Arbre aux parfums, son premier album solo lancé la semaine dernière au Québec, la musicienne a les épaules bien dégagées, et le regard qui tombe, comme si elle regardait où elle mettait les pieds. Où ça ? Droit devant, tête baissée, répond-elle. "J’avance vite. Je sais ce que j’ai envie de faire. J’ai toujours eu le caractère de quelqu’un qui fonce", dit Carole. Joli paradoxe : la demoiselle est pressée de retrouver son public, alors que son nom de scène, Caracol, est un mot espagnol qui se traduit par… escargot.
Ainsi, à peine un an après que Dobacaracol a posé ses valises, après quatre cent vingt-cinq concerts donnés en trois ans, dans seize pays, la Montréalaise est sur les blocs de départ, déjà prête à reprendre la route. Avec de toutes nouvelles compositions dans ses valises, servies par une direction musicale cosmopolite, débarrassées des références world beat de la pop passe-partout de Dobacaracol, un répertoire qu’elle n’entend d’ailleurs pas revisiter lors de sa prochaine tournée. "Je veux vraiment repartir à neuf, tourner la page sur cette aventure…"
Pour ceux qui ont apprivoisé la nature sauvage, mais doucement accrocheuse, des sonorités africaines, afro-latines et pop de Dobacaracol, la transformation ne sera pas déconcertante. Carole d’admet elle-même : "Dans Dobacaracol, le côté world ne venait pas tout à fait de moi. Ma passion, c’est les chansons".
Franchement chanson
Les chansons telles quelles, telles qu’on les découvre cette fois sur L’Arbre aux parfums, faites de guitares acoustiques, de rythmiques pop assez modernes, de chaudes sonorités folk. Avec quelques touches de jazz au niveau des arrangements, et même un vibrant hommage au son rocksteady jamaïcain, parfaitement restitué sur la chanson Le Livre de la colère. Deux chansons en anglais (Cold Box et The Laws of Sadness) trouvent même leur place sur l’album. "J’ai trois langues, dit Carole. Le français, l’espagnol – mon père est d’origine uruguayenne – et l’anglais. J’ai vécu dans l’Ouest canadien, dans le Vermont, à l’époque où je faisais de la planche à neige de compétition. Ça me vient naturellement… "
Or, si le nouveau look de Carole surprend, imaginez alors le choc lorsque la rumeur s’est confirmée l’hiver dernier. Comment, Dobacaracol, l’une des success stories de la chanson francophone québécoise des dernières années, mis en veilleuse après seulement deux albums – dont Soley (distribué par Wagram), celui qui a fait des deux jeunes femmes des globe-trotters ?
"Mon projet solo a pris tout le monde de court", à commencer par les patrons du label Indica, qui avaient d’autres beaux plans pour le duo. "L’aventure Dobacaracol a été positive, mais extrême, à bien des égards. Ç’a été pour moi l’occasion de grandir, de réfléchir beaucoup, de vivre en vase clos avec un groupe de musiciens exceptionnels, je n’avais jamais connu quelque chose d’aussi intense."
Rencontre avec un ukulélé
Le retour au bercail s’est cependant vécu différemment pour Doriane et Carole. La première avait besoin de faire une pause. La deuxième brûlait de reprendre du collier, de retrouver la scène. Les premières chansons ont été écrites durant l’ultime tournée de Dobacaracol, à la faveur d’une rencontre inattendue entre la musicienne… et un ukulélé. "Le ukulélé a été l’élément déclencheur, explique-t-elle. Je l’ai vu dans la vitrine d’une boutique en Autriche, c’est comme s’il m’appelait. En tournée, c’était parfait : tout petit, au son délicat qui ne dérange personne, même que les musiciens qui nous accompagnaient se sont pris d’affection pour ce petit instrument !". Une poignée de chansons étaient déjà complétées lorsque Dobacaracol a mis fin à son tour du monde. Les autres ont été écrites ce printemps, et l’album fut bouclé, enregistré, mixé, à la fin du mois de juillet. Pourtant, de L’Arbre aux parfums se dégage une sérénité certaine, en dépit des thèmes parfois durs et de l’urgence qui anime Caracol. "Ça ne faisait pas mon affaire de prendre une année sabbatique !", dit-elle, le sourire dans la voix. L’album lancé, une dizaine de concerts sont déjà prévus aux Québec, en attendant la sortie française de son premier album.
Invité- Invité
Re: Caracol
mortimers a écrit:tres tres sympa la cousine quebecoise !!!
tu me trompes avec une quebecoise!
sache petit que je suis ta seule et unique cousine!
Re: Caracol
sortie d'un tres bon new alboommmmmmmmmm, plus anglophone que french par contre...mais moi j'aime bien
Invité- Invité
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