Les petites phrases des Français en athlétisme
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Les petites phrases des Français en athlétisme
GÖTEBORG, Suède (Reuters) - Au fil des championnats d'Europe, certains athlètes français se sont fendus sans toujours s'en apercevoir de petites phrases plutôt savoureuses.
A leur manière, les Bleus ont su mettre une petite cerise sur leurs médailles ou leurs contre-performances.
MARC RAQUIL (médaille d'or du 400m): "En finale, je me suis vraiment arraché les vers du nez."
"Je n'aime pas les choses faciles. D'ailleurs, quand j'étais jeune, je n'aimais pas lorsque c'était facile avec une fille. Je préférais quand c'était dur."
YOHAN DINIZ (médaille d'or du 50km marche): "En période de préparation, entre quatre à cinq mois par an, je fais entre 180 et 200 km par semaine. Je marche en rongeant mon frein afin de ne pas me laisser emporter par ma vitesse."
NAMAN KEITA (4e du 400m haies): "Si j'étais un bébé, je serais en train de pleurer."
RONALD POGNON (4e du 100m): "C'est parti en couille à cause de ma cuisse."
BENOIT ZWIERZCHIEWSKI (marathonien): "Désormais, ils viennent nous chercher carrément dans nos chambres d'hôtel. C'est positif parce qu'ils arrivent à y attraper des grosses têtes comme Floyd Landis ou Justin Galtin.
"Vraiment, je me réjouis de constater que les contrôles antidopage deviennent très positifs."
PATRICIA DJATE (entraîneur du demi-fond français): "Dans l'athlétisme, toutes les disciplines sont touchées, pas seulement le demi-fond. Dans l'athlétisme, il y a des gens dopés partout, même chez les journalistes."
DAVID RAMARD (marathonien): "J'avais 17 ans, je sortais tard d'une boîte de nuit. Alors, un de mes potes grimaça à l'idée d'aller faire sa séance d'entraînement dans la foulée.
"Pour le motiver, je lui ai proposé de l'accompagner. Alors que je n'avais absolument jamais couru, je ne l'ai pas lâché pendant son heure de footing. Depuis, je continue à courir mais pas trop pour aller en boîte de nuit !"
A leur manière, les Bleus ont su mettre une petite cerise sur leurs médailles ou leurs contre-performances.
MARC RAQUIL (médaille d'or du 400m): "En finale, je me suis vraiment arraché les vers du nez."
"Je n'aime pas les choses faciles. D'ailleurs, quand j'étais jeune, je n'aimais pas lorsque c'était facile avec une fille. Je préférais quand c'était dur."
YOHAN DINIZ (médaille d'or du 50km marche): "En période de préparation, entre quatre à cinq mois par an, je fais entre 180 et 200 km par semaine. Je marche en rongeant mon frein afin de ne pas me laisser emporter par ma vitesse."
NAMAN KEITA (4e du 400m haies): "Si j'étais un bébé, je serais en train de pleurer."
RONALD POGNON (4e du 100m): "C'est parti en couille à cause de ma cuisse."
BENOIT ZWIERZCHIEWSKI (marathonien): "Désormais, ils viennent nous chercher carrément dans nos chambres d'hôtel. C'est positif parce qu'ils arrivent à y attraper des grosses têtes comme Floyd Landis ou Justin Galtin.
"Vraiment, je me réjouis de constater que les contrôles antidopage deviennent très positifs."
PATRICIA DJATE (entraîneur du demi-fond français): "Dans l'athlétisme, toutes les disciplines sont touchées, pas seulement le demi-fond. Dans l'athlétisme, il y a des gens dopés partout, même chez les journalistes."
DAVID RAMARD (marathonien): "J'avais 17 ans, je sortais tard d'une boîte de nuit. Alors, un de mes potes grimaça à l'idée d'aller faire sa séance d'entraînement dans la foulée.
"Pour le motiver, je lui ai proposé de l'accompagner. Alors que je n'avais absolument jamais couru, je ne l'ai pas lâché pendant son heure de footing. Depuis, je continue à courir mais pas trop pour aller en boîte de nuit !"
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