beirut
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beirut
bon à mon avis ça va pas plaire à grand monde ici ... p'tet à morti ... m'enfin j'en cause qd meme ... j'viens de découvrir ça ... j'suis scotchée tellement j'adore
ricky ... traduction?
le site
le myspace
le site du groupe a écrit:"While it may sound like an entire Balkan gypsy orchestra playing modern songs as mournful ballads and upbeat marches, Beirut's first album, Gulag Orkestar, is largely the work of one 19-year-old Albuquerque native, Zach Condon, with assistance by Jeremy Barnes (Neutral Milk Hotel, A Hawk and a Hacksaw) and Heather Trost (A Hawk and a Hacksaw). Horns, violins, cellos, ukuleles, mandolins, glockenspiels, drums, tambourines, congas, organs, pianos, clarinets and accordions (no guitars on this album!) all build and break the melodies under Condon's deep-voiced crooner vocals, swaying to the Eastern European beats like a drunken 12-member ensemble that has fallen in love with The Magnetic Fields, Talking Heads and Neutral Milk Hotel"
ricky ... traduction?
le site
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Re: beirut
zegut? il est encore vivant?
sinon c'est beau hein beirut? et encore le 1er album est encore plus beau
sinon c'est beau hein beirut? et encore le 1er album est encore plus beau
Re: beirut
Ben moi j'aime bien aussi.
Pat_atra- La Bavarde
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Date d'inscription : 07/09/2004
Re: beirut
c'est vraiment chouettos ce groupos !!!
ca date ce texte...
Les Slaves de l'Ouest
Beirut - Gulag Orkestar
Ba-Da-Bing
La valeur n'attend pas le nombre d'années... ni la critique à l'heure. Si seulement la précocité du leader de Beirut, qui signe à 20 ans les chansons parmi les plus marquantes de 2006, pouvait excuser mon retard à chroniquer ce Gulag Orkestar sorti il y a 4 mois ! Septembre est le mois des ratrapages, après tout.
- Beirut, vous connaissez ? sur le forum musique de Flu
Révélé par le net-à-oreille des blogs musicaux du monde entier (une voie décidément de plus en plus précieuse), Beirut ne s'inscrit heureusement pas dans un quelconque revival hype comme trop de groupes ces dernières années : nul emprunt aux colosses défunts du rock, pas de taxidermie de mauvais goût pour podcasteurs nostalgiques. On bascule plutôt du côté de l'authentique, du poignant, d'une musique qui vient tout droit du cœur et prend profondément racine dans la tristesse slave. Tenant davantage des musiques d'enterrements de Bregovic que du ska pétaradant de son complice Emir Kusturica , ce Gulag Orkestar déchire l'âme en peine du blogueur, secoue sa conscience par de brillants unissons, et l'arrache infailliblement à sa torpeur blasée.
Fier de ses compositions sans guitare, le multi-instrumentiste Zach Condon s'est entouré d'une clique cuivrée et percussive dont l'interprétation à fleur de peau donne le frisson. L'idée lui serait venue lors d'un séjour à Paris, où la déambulation d'une fanfare d'amateurs sans le sou lui aurait mis la puce à l'oreille. Trompette qui étrangle un sanglot, lourds accords de piano bastringue qui craque sous les doigts gourds, le solide pathos d'Europe de l'Est quitte rarement l'épique voyage de Gulag Orkestar. Le tableau s'équilibre avec l'éclatante rythmique de "Bratislava" ou les mandolines ensoleillées du single "Postcards from Italy", et la fresque mouvementée s'achève dans une comptine électronica légère. Beirut évolue dans ce no man's land émotionnel où les accords mineurs mènent la danse et les larmes revigorent...
Derrière l'évidence des fanfares balkaniques, une kyrielle d'autres noms se bousculent au portillon, chariée par la belle voix de Zach. Les français reconnaîtront ce tremolo fragile des premiers albums de Dominique A sur "Rhineland (Heartland)" ou la superstar nationale Tiersen dans l'accordéon valseur de "Mount Vorclai (Idle Days)" (un nouveau "Monochrome" ?), les Canadiens jureront entendre Final Fantasy converti aux cuivres sur "Postcards from Italy", tandis que les Anglais songeront aux chœurs marins d'un Matt Elliott. Grâce à cette multiplicité de tons, Beirut dépasse le simple exercice folklorique. Leur origine américaine aurait pu leur valoir force sarcasme s'ils s'étaient contentés de pasticher les trésors slaves, mais un songwriting inspiré les garde loin du piège de l'exotisme. A l'image de l'ouverture instrumentale, l'ensemble est délicatement bancal, débordant de sincérité, terriblement humain. Le son voilé des percussions pléthoriques, les interventions judicieuses des arrangements de cuivres, l'apparition d'un violon ou d'une clarinette piquante épaulent admirablement le chant du slave de l'Ouest.
Ovationnée sur la toile, la formation tentera de confirmer son talent sur scène prochainement au festival des Inrocks. Quant à la suite qu'ils souhaitent donner à leur aventure tsigane, nul doute qu'elle empruntera d'autres visages, pour nous faire chavirer à nouveau.
Gulag Orkestar
Beirut
Ba-Da-Bing
Sortie en mai 2005
ca date ce texte...
Les Slaves de l'Ouest
Beirut - Gulag Orkestar
Ba-Da-Bing
La valeur n'attend pas le nombre d'années... ni la critique à l'heure. Si seulement la précocité du leader de Beirut, qui signe à 20 ans les chansons parmi les plus marquantes de 2006, pouvait excuser mon retard à chroniquer ce Gulag Orkestar sorti il y a 4 mois ! Septembre est le mois des ratrapages, après tout.
- Beirut, vous connaissez ? sur le forum musique de Flu
Révélé par le net-à-oreille des blogs musicaux du monde entier (une voie décidément de plus en plus précieuse), Beirut ne s'inscrit heureusement pas dans un quelconque revival hype comme trop de groupes ces dernières années : nul emprunt aux colosses défunts du rock, pas de taxidermie de mauvais goût pour podcasteurs nostalgiques. On bascule plutôt du côté de l'authentique, du poignant, d'une musique qui vient tout droit du cœur et prend profondément racine dans la tristesse slave. Tenant davantage des musiques d'enterrements de Bregovic que du ska pétaradant de son complice Emir Kusturica , ce Gulag Orkestar déchire l'âme en peine du blogueur, secoue sa conscience par de brillants unissons, et l'arrache infailliblement à sa torpeur blasée.
Fier de ses compositions sans guitare, le multi-instrumentiste Zach Condon s'est entouré d'une clique cuivrée et percussive dont l'interprétation à fleur de peau donne le frisson. L'idée lui serait venue lors d'un séjour à Paris, où la déambulation d'une fanfare d'amateurs sans le sou lui aurait mis la puce à l'oreille. Trompette qui étrangle un sanglot, lourds accords de piano bastringue qui craque sous les doigts gourds, le solide pathos d'Europe de l'Est quitte rarement l'épique voyage de Gulag Orkestar. Le tableau s'équilibre avec l'éclatante rythmique de "Bratislava" ou les mandolines ensoleillées du single "Postcards from Italy", et la fresque mouvementée s'achève dans une comptine électronica légère. Beirut évolue dans ce no man's land émotionnel où les accords mineurs mènent la danse et les larmes revigorent...
Derrière l'évidence des fanfares balkaniques, une kyrielle d'autres noms se bousculent au portillon, chariée par la belle voix de Zach. Les français reconnaîtront ce tremolo fragile des premiers albums de Dominique A sur "Rhineland (Heartland)" ou la superstar nationale Tiersen dans l'accordéon valseur de "Mount Vorclai (Idle Days)" (un nouveau "Monochrome" ?), les Canadiens jureront entendre Final Fantasy converti aux cuivres sur "Postcards from Italy", tandis que les Anglais songeront aux chœurs marins d'un Matt Elliott. Grâce à cette multiplicité de tons, Beirut dépasse le simple exercice folklorique. Leur origine américaine aurait pu leur valoir force sarcasme s'ils s'étaient contentés de pasticher les trésors slaves, mais un songwriting inspiré les garde loin du piège de l'exotisme. A l'image de l'ouverture instrumentale, l'ensemble est délicatement bancal, débordant de sincérité, terriblement humain. Le son voilé des percussions pléthoriques, les interventions judicieuses des arrangements de cuivres, l'apparition d'un violon ou d'une clarinette piquante épaulent admirablement le chant du slave de l'Ouest.
Ovationnée sur la toile, la formation tentera de confirmer son talent sur scène prochainement au festival des Inrocks. Quant à la suite qu'ils souhaitent donner à leur aventure tsigane, nul doute qu'elle empruntera d'autres visages, pour nous faire chavirer à nouveau.
Gulag Orkestar
Beirut
Ba-Da-Bing
Sortie en mai 2005
Invité- Invité
Re: beirut
un double maxi sortira le 16 février
March of the Zapotec (6 titres) + Realpeople – Holland (5 titres)
Realpeople c'est le 1er groupe de Zach Condon
Source
March of the Zapotec (6 titres) + Realpeople – Holland (5 titres)
Realpeople c'est le 1er groupe de Zach Condon
Source
Re: beirut
sa reprise de hey jude est meilleure que l'originale ... faut dire que pour faire plus niaiseux que les beatles ... à part kyo je vois pas
Re: beirut
un boys band de pseudo rebelles qui a eu son succès auprès des ado un certain temps ... et qui est tombé ds l'oubli
Re: beirut
Mamz a écrit:un double maxi sortira le 16 février
March of the Zapotec (6 titres) + Realpeople – Holland (5 titres)
Realpeople c'est le 1er groupe de Zach Condon
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Invité- Invité
Re: beirut
ds le meme esprit que les concerts à emporter et par le meme site ... les soirées de poche
Re: beirut
« Cheap Magic Inside » de Beirut, c’est maintenant cadeau
C’était le début de l’été 2007, New York était noyé de soleil, Brooklyn commençait à chauffer et Beirut avait finit de travailler sur Flying Club Cup, leur deuxième album. Pendant quelques jours radieux, nous les avions filmé avec Vincent Moon : le groupe jouait tout l’album à la manière d’un Concert à emporter. Une première pour nous. Cela a donné Cheap Magic Inside, DVD réalisé par Vincent Moon et produit par la Blogo. Il est maintenant en téléchargement libre.
Cela fait longtemps déjà que le DVD n’est plus disponible. Un internaute a donc mis en ligne, avec notre accord et celui du label, les fichiers à télécharger, directement ou par torrent. Voilà, vous l’avez, votre cadeau de Noël à moindre frais.
Images par Vincent Moon / Son par Chryde / Production manager in NYC : Kristianna Smith
DVD mastering et authoring : Nathanaël Le Scouarnec / Design de la pochette : Thomas Baas
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