[No One Is Innocent]
+4
Rastalion69
Mamz
Ricky Banlieue
jeancle
8 participants
Page 1 sur 1
[No One Is Innocent]
[No One Is Innocent] - Gazoline
nouvel album le 26 mars 2007
Le myspace
nouvel album le 26 mars 2007
Le myspace
(la suite...)No one is innocent, les raisons de la colère…
« Alors à plein poumon et puis jusqu’au dernier souffle
Saluons l’allégresse avant qu’elle ne nous étouffe
Gagnons du terrain sur les routes en jachère
On ne répond plus de rien, petit enfant de la colère
Et le réveil enfin, l’antidote est sévère… »
Personne n’est innocent lorsqu’il s’agit d’être toujours en éveil. Les yeux fermés on fait rarement du bruit. Les yeux ouverts on trouve plus souvent le son de la révolution sans pour autant cette fois qu’elle soit attachée au « .com » de la génération ipod ou random évoquée dans l’album précédent qui a connecté plus de 50 000 acheteurs. C’est comme vous voulez. Depuis les pavés lancés contre le F.N, une tournée mémorable au Chili, les sitting avec « Act Up », la solidarité dans ce « devoir de réagir », la musique du groupe incarne toujours une forme « d’éducation sans frontière ». L’urgence est encore le moteur pour faire avancer l’envie et ce besoin irrépressible d’être en rythme pour contrer la marche naturelle du monde vers le désespoir et l’indifférence.
Dernière édition par jeancle le Mer Nov 10 2010, 11:25, édité 1 fois
jeancle- Assistant
-
Nombre de messages : 4018
Age : 59
Localisation : Aurillac (15)
Points : 17806
Date d'inscription : 12/10/2004
Re: [No One Is Innocent]
j'adore cte groupe !!!!
il passe un titre en ce moment a la radio...du bon no one !!!
vivement mars
j'espere qu'ils vont bien tourner cet ete !!!
Invité- Invité
Re: [No One Is Innocent]
Ricky_Banlieue a écrit:
Rastalion69- Rue d'la Gouaille
-
Nombre de messages : 22654
Age : 56
Localisation : le cul sur ma chaise
Humeur : aucun me fait chiez
Points : 8977
Date d'inscription : 19/09/2005
Re: [No One Is Innocent]
Shows à venir ( voir tout )
13 avr. 2007 20:00
Jules Vernes Montbéliard
14 avr. 2007 20:00
Hall C St Etienne
26 avr. 2007 20:00
Trabendo- show case privé Paris
28 avr. 2007 20:00
Le Run Arpuns Brest
4 mai 2007 20:00
Le Bikini Toulouse
5 mai 2007 20:00
Le Krakatoa TBC Merignac
10 mai 2007 20:00
Rock n Solex Rennes
11 mai 2007 20:00
Rocktambules Arles
12 mai 2007 20:00
Le Noumatrouf Mulhouse
19 mai 2007 20:00
Art Cade Rouen (Notre-Dame)
25 mai 2007 20:00
Festival Lausanne
26 mai 2007 20:00
Les Abattoirs Bourgoin
28 mai 2007 20:00
3 dates jusqu au 3 juin Ile de la Réunion
1 juil. 2007 20:00
Jusqu a fin Aout Festivals d été
16 oct. 2007 20:00
La Cigale Paris
13 avr. 2007 20:00
Jules Vernes Montbéliard
14 avr. 2007 20:00
Hall C St Etienne
26 avr. 2007 20:00
Trabendo- show case privé Paris
28 avr. 2007 20:00
Le Run Arpuns Brest
4 mai 2007 20:00
Le Bikini Toulouse
5 mai 2007 20:00
Le Krakatoa TBC Merignac
10 mai 2007 20:00
Rock n Solex Rennes
11 mai 2007 20:00
Rocktambules Arles
12 mai 2007 20:00
Le Noumatrouf Mulhouse
19 mai 2007 20:00
Art Cade Rouen (Notre-Dame)
25 mai 2007 20:00
Festival Lausanne
26 mai 2007 20:00
Les Abattoirs Bourgoin
28 mai 2007 20:00
3 dates jusqu au 3 juin Ile de la Réunion
1 juil. 2007 20:00
Jusqu a fin Aout Festivals d été
16 oct. 2007 20:00
La Cigale Paris
Invité- Invité
Re: [No One Is Innocent]
resa effectue pour le 18 mai !!!!
dans un ch'tit cafe concert d'enfer !!!
18-05-2007 - [NO ONE IS INNOCENT]
+ STRAIGHT IN THA VEINS
ROCK FUSION - FRANCE
Enragé et engagé, [NO ONE IS INNOCENT] est l’un des groupes de fusion le plus influent de la scène rock française des années 90. Révélés par le morceau "La Peau" (1994), qui fit un tabac sur les radios françaises, les NO ONE ont fait du chemin depuis leur début, multipliant les scènes et expériences musicales (les Eurockéennes, Le Printemps de Bourges…) jusqu’à leur séparation en 1999… L’excellent «Revolution.com» marque leur retour sur scène en 2004.
Depuis les pavés lancés contre le F.N., une tournée mémorable au Chili, les sitting avec Act Up, la musique du groupe incarne toujours une forme «d’éducation sans frontière»… Une spontanéité brûlante que le quatuor dépense sur scène, avec chansons ruisselantes d’une sueur qui porte l’engagement, mis en avant par Kmar, le leader charismatique.
NO ONE revient…et ça va suer !
Nouvel Album : « Gazoline », fin Mars.
+ STRAIGHT IN THA VEINS
ROCK METAL – ST BRIEUC
Déjà 3 ans que le groupe briochin dépense et répand son énergie ! (Vous les avez peut-être vu lors de la fête de la musique 2006 à l'Appel d'Airs) STRAIGHT IN THA VEINS se veut résolument différent et leur musique s'en ressent: des textes engagés et un tronc commun basé sur la puissance du métal servent de terreau aux touches si particulières de chaque musicien. et permettant de créer l'alchimie qui caractérise leur style musical. Ils viennent défendre leur premier album et prouver que c'est définitivement sur scène que toute leur hargne se dégage !
Liens :
http://nooneisinnocent.artistes.universalmusic.fr
www.myspace.com/nooneisinnocent
www.myspace.com/straightinthaveins
Invité- Invité
Re: [No One Is Innocent]
Mamz a écrit:j'connais que le 1er album ... excellent de chez excellent ...
ben bon sang je sais pas comment tu fais pour ne connaître QUE le premier album... (utopia)
en général les gens ne connaissent plutôt que le troisième à savoir révolution.com
frozhalf- Les Mauvaises Langues
-
Nombre de messages : 682
Age : 39
Points : 6556
Date d'inscription : 13/12/2006
Re: [No One Is Innocent]
c'est parce que j'suis en voie vers la mureté ... pi c'est encore avant utopia ... album éponyme j'crois ...
Re: [No One Is Innocent]
A propos de no one is innocent
Au début des années 90, le rock prend un tournant décisif en retrouvant une seconde jeunesse dans le rock alternatif. Aux Hair Band qui firent les jours glorieux du Sunset Strip, succèdent Rage Against The Machine, Nine Inch Nails et Tool. A Seattle, Soundgarden, Nirvana et Pearl Jam aiguisent leurs armes. A New York, Sonic Youth et les Beastie Boys se font un nom au-delà des fanzines de la scène indépendante...En Europe, Therapy?, Primal Scream, Urban Dance Squad et No One Is Innocent ne font qu'annoncer une révolution en marche. Dan un contexte socio-économique déprimant, on observe du coin de l'oeil la montée du front national et le feu dans les rues de Belfast...la presse rock qui s'enlise, les boys band qui apparaissent, les Bérus qui disparaissent, toute la chanson française perd pied et devient pour de bon la variété française. Le public lui s'impatiente d'entendre le son du changement. Quelques journalistes francs-tireurs parmi lesquels des anciens New Wave, Rock'n'Folk et Best se font l'écho de cette scène bruitiste en lançant un petit magazine avec une grosse paire de burnes, R.A.G.E., Revue Assourdissante de la Génération Electrique. A la sortie de son premier numéro à la jolie couverure Faith No More, j'ai sur mon bureau une cassette 4 titres d'un groupe étrangement fascinant, No One Is Innocent. Kemar est venu déposer sa première démo, enregistrements dans l'urgence, à l'arraché, sur lequel on trouve un titre, << La Peau >>, de l'énergie à revendre, des mots qui frappent et une attitude qui manque cruellement à la scène française de l'époque. Pendant plus de cinq ans, le groupe va mettre le feu. Il va canaliser une scène, adulé, haï, porté à bouts de bras, tiré à boulets rouges, No One Is Innocent s'impose comme une machine de guerre qui crache qutre chose que du venin. Une volonté de s'exprimer avec des mots nouveaux, une poésie urbaine qui touchera tout l'hexagone, sans exception. Après avoir renversé les plus grosses scènes d'Europe, de Dour au Parc Des Princes, aux Eurockéennes, joué au South By South West, en Amérique du Sud, No One réalise deux albums coup de poings. Le premier sur lequel on retrouve << Génocide >>, << Ne Reste-t-il Que La Guerre Pour Tuer Le Silence ?>>, << Henry, Serial Killer >>, deviendra un album phare de la scène rock française des early nineties. Le second, << Utopia >>, sur lequel figurent << Chile >> et << Nomenklatura >>, sera produit par Ulrich Wild. S'en suit une poignée de macis dont le culte << Antipolitique >> avec les rappeurs de Timide Et Sans Complexe et l'enregistrement d'un titre, << Le Poison >>, avec l'<< Orchestre National de Barbès >>, une collaboration qui montre une fois de plus que No One ose et s'impose là où on ne l'attend pas. Mais pourtant, No One Is Innocent épuisé et poussé par des envies trop diverses en son sein, décide de se saborder. << Nous avions des envies trop différentes, nous étions en désaccord musical...Je n'avais surtout pas envie de sortir un nouvel album que je ne me sentais pas de défendre à 100% et avec le recul, c'est un divorce qui nous a permis à chacun d'exprimer d'autres traits de nos personnalités >>, explique Kemar. L'histoire, elle, ne s'arrête pas là. Dispersée, en pleine mutation, la scène elle-même prend une autre forme, on commence enfin à sentir un effet réel sur la musique bruitiste d'année de culture électronique. Aidé par Portishead, les Chemical Brothers ou Aphex Twins, le son de 90's prend doucement son envol vers le nouveau millénaire. Kemar, lui, prend son élan pour retrouver ses premières amours de Bette Davis, Tricky et Serge Gainsbourg en livrant un envoûtant album solo sorti avec forte discrétion, mais qui restera une superbe pierre angulaire de sa constante évolution.
Au début des années 90, le rock prend un tournant décisif en retrouvant une seconde jeunesse dans le rock alternatif. Aux Hair Band qui firent les jours glorieux du Sunset Strip, succèdent Rage Against The Machine, Nine Inch Nails et Tool. A Seattle, Soundgarden, Nirvana et Pearl Jam aiguisent leurs armes. A New York, Sonic Youth et les Beastie Boys se font un nom au-delà des fanzines de la scène indépendante...En Europe, Therapy?, Primal Scream, Urban Dance Squad et No One Is Innocent ne font qu'annoncer une révolution en marche. Dan un contexte socio-économique déprimant, on observe du coin de l'oeil la montée du front national et le feu dans les rues de Belfast...la presse rock qui s'enlise, les boys band qui apparaissent, les Bérus qui disparaissent, toute la chanson française perd pied et devient pour de bon la variété française. Le public lui s'impatiente d'entendre le son du changement. Quelques journalistes francs-tireurs parmi lesquels des anciens New Wave, Rock'n'Folk et Best se font l'écho de cette scène bruitiste en lançant un petit magazine avec une grosse paire de burnes, R.A.G.E., Revue Assourdissante de la Génération Electrique. A la sortie de son premier numéro à la jolie couverure Faith No More, j'ai sur mon bureau une cassette 4 titres d'un groupe étrangement fascinant, No One Is Innocent. Kemar est venu déposer sa première démo, enregistrements dans l'urgence, à l'arraché, sur lequel on trouve un titre, << La Peau >>, de l'énergie à revendre, des mots qui frappent et une attitude qui manque cruellement à la scène française de l'époque. Pendant plus de cinq ans, le groupe va mettre le feu. Il va canaliser une scène, adulé, haï, porté à bouts de bras, tiré à boulets rouges, No One Is Innocent s'impose comme une machine de guerre qui crache qutre chose que du venin. Une volonté de s'exprimer avec des mots nouveaux, une poésie urbaine qui touchera tout l'hexagone, sans exception. Après avoir renversé les plus grosses scènes d'Europe, de Dour au Parc Des Princes, aux Eurockéennes, joué au South By South West, en Amérique du Sud, No One réalise deux albums coup de poings. Le premier sur lequel on retrouve << Génocide >>, << Ne Reste-t-il Que La Guerre Pour Tuer Le Silence ?>>, << Henry, Serial Killer >>, deviendra un album phare de la scène rock française des early nineties. Le second, << Utopia >>, sur lequel figurent << Chile >> et << Nomenklatura >>, sera produit par Ulrich Wild. S'en suit une poignée de macis dont le culte << Antipolitique >> avec les rappeurs de Timide Et Sans Complexe et l'enregistrement d'un titre, << Le Poison >>, avec l'<< Orchestre National de Barbès >>, une collaboration qui montre une fois de plus que No One ose et s'impose là où on ne l'attend pas. Mais pourtant, No One Is Innocent épuisé et poussé par des envies trop diverses en son sein, décide de se saborder. << Nous avions des envies trop différentes, nous étions en désaccord musical...Je n'avais surtout pas envie de sortir un nouvel album que je ne me sentais pas de défendre à 100% et avec le recul, c'est un divorce qui nous a permis à chacun d'exprimer d'autres traits de nos personnalités >>, explique Kemar. L'histoire, elle, ne s'arrête pas là. Dispersée, en pleine mutation, la scène elle-même prend une autre forme, on commence enfin à sentir un effet réel sur la musique bruitiste d'année de culture électronique. Aidé par Portishead, les Chemical Brothers ou Aphex Twins, le son de 90's prend doucement son envol vers le nouveau millénaire. Kemar, lui, prend son élan pour retrouver ses premières amours de Bette Davis, Tricky et Serge Gainsbourg en livrant un envoûtant album solo sorti avec forte discrétion, mais qui restera une superbe pierre angulaire de sa constante évolution.
Invité- Invité
Re: [No One Is Innocent]
mortimers a écrit:j-2
j ai piscine !!!
je peux po y aller !!!
ch'tit cafe concert : pas si p'tit que ça !!!
zaz_bzh- Les Hurlements d'Léo
- Nombre de messages : 2479
Localisation : 22 bzh
Points : 7486
Date d'inscription : 31/10/2005
Re: [No One Is Innocent]
je ne connais que le premier aussi... ce genre de musique, c'est le genre qui m'a dégouté du rock, pourtant le rock était mort bien avant eux, mais bon... question d'âge sans doute
Re: [No One Is Innocent]
Mamz a écrit:c'est parce que j'suis en voie vers la mureté ... pi c'est encore avant utopia ... album éponyme j'crois ...
exact autant pour moi ^^
"du grand canyon au yemen... et la peau est la même"
frozhalf- Les Mauvaises Langues
-
Nombre de messages : 682
Age : 39
Points : 6556
Date d'inscription : 13/12/2006
Re: [No One Is Innocent]
donk a écrit:pourtant le rock était mort bien avant eux
ben ça ... mon bon monsieur ... depuis la mort d'elvis ... tout est fini!
Rastalion69- Rue d'la Gouaille
-
Nombre de messages : 22654
Age : 56
Localisation : le cul sur ma chaise
Humeur : aucun me fait chiez
Points : 8977
Date d'inscription : 19/09/2005
Re: [No One Is Innocent]
super concert des NOII
p'tite salle, 200 spectateurs a peu pres, ambiance bien rock et un kemar bien bondissant !!!
un mix d'anciens morceaux et des new chansons de "gazoline...le top des NOII quoi...un grand pour "salut l'artiste" decu qu'ils n'aient pas jouer "la peur" par contre...
domage que le son etait moyen...si la zic etait bonne les paroles etaient un peu juste...et chez les NOII c'est quand meme un truc primordiale...
jeu de lumieres excelent a mon gout...la silouette de kemar dans l'ombre des spots c'est vraiment top !!!
faut que je les revois sur une grande scene ou leur jeu de scene doit prendre encore plus de dimension...a n'en plus douter les NOII sont dans la ligne des grands groupes rock french !!!
lu sur EVENE.FR
Kemar fait du bruit
INTERVIEW DE NO ONE IS INNOCENT
Dix ans après ‘Utopia’ et une errance ponctuée de projets solos, Kemar revient avec un No One is Innocent plus en forme que jamais et livre avec ‘Gazoline’ un album brillant et lourd de sens. L’occasion pour Kemar de faire le point sur ce qu’il est, ce qu’il aime et ce qu’il défend.
Qui l’eût cru ? Après avoir sorti l’hymne metal ‘La Peau’ en 1994 et l’un des meilleurs albums rock énervé de la fin des années 1990 (’Utopia’, 1997), No One is Innocent, trop tôt annoncé au panthéon des feus groupes cultes, est revenu en fanfare en 2004 avec un ‘Revolution.com’ énergique et soigné. Si on pouvait encore émettre quelques réserves quant à la force du No One is Innocent deuxième génération, Kemar lève définitivement les derniers doutes avec la sortie de ‘Gazoline’, un album rageur et mélodique, percutant et engagé. Du coup, c’est aussi l’occasion pour le frontman du groupe de disserter sur le plaisir de se retrouver sur scène avec No One, de faire part de ses coups de gueule et de partager sa bonne humeur contagieuse.
Beaucoup de temps s’est écoulé entre ‘Utopia’ et ‘Revolution.com’, et à peine le temps d’une tournée entre vos deux derniers opus. Qu’est-ce qui a précipité l’enregistrement de ‘Gazoline’ ?
En fait, quand on est sortis de la tournée, on était assez fatigués, mais K-Mille, François et moi étions motivés pour écrire. Moi un peu moins, car rincé en fin de tournée, mais K-Mille était à fond. Il a donné le déclic du démarrage des compos, et on s’est mis à travailler. Très vite on a eu ‘Gazoline’, ‘Salut l’artiste’… Les autres ont suivi.
Une fille sur la pochette de ‘Gazoline’, ça change…
Ouais, on en avait marre de montrer des mecs ! J’avais dit à Laurent (Séroussi, qui s’occupe des pochettes depuis le début de No One, ndlr) : “Cet album sera féminin ou ne sera pas !” Il se trouvait qu’à ce moment-là il était au Brésil, et il a eu l’idée et la possibilité de faire la pochette là-bas. Après, par rapport à l’interprétation qu’on donne à la pochette, on s’est dit qu’il fallait donner plus d’importance à la féminité dans la société, et j’avais envie d’associer la féminité avec le nom No One is Innocent. Pas dans l’idée de dire que les femmes sont aussi coupables que les hommes - j’avais d’ailleurs peur que ce soit trop violent -, mais toujours pour signifier que derrière le beau, il y a quelque chose qui se cache. Ici, c’est quelque chose de brûlant.
Faire cet album, c’était un bon prétexte pour remonter sur scène…
Toujours ! On a fait les deux premières dates de la tournée la semaine dernière (le 13 avril à Montbéliard, le 14 à Saint-Etienne, ndlr), c’était bon ! Physiquement c’était chaud, le rythme d’un concert de No One, c’est quelque chose ! Et puis, quand tu es en studio et que tu enregistres de nouveaux morceaux, tu n’as qu’une envie, c’est d’aller les essayer sur scène. C’est le propre de ce rock-là, qui ne nous enterre pas chez nous après avoir sorti l’album…
Et c’est agréable de rejouer d’anciens morceaux avec les nouveaux membres ?
Oui, parce qu’il y a une nouvelle interprétation, une complicité, et chacun ressent le texte différemment, c’est super, ça donne une nouvelle vie au morceau. Et puis, des titres comme ‘La Peau’, ‘Utopia’, ‘Henry’, ça fait partie de l’histoire de ce groupe, on ne va pas arrêter de les jouer !
Avec les débats actuels autour de l’immigration, ‘La Peau’, justement, a toujours un bel avenir sur scène…
Comme je dis souvent sur scène : malheureusement c’est un morceau qu’on aimerait arrêter de jouer. Mais en même temps, jouer ce morceau c’est toujours un moment super positif, au message fort. Même musicalement, c’est incontournable. Il y a un côté “tribu”, avec le vocabulaire indien, et c’est exactement le reflet de ce qu’on est sur scène : quatre mecs qui font partie d’une tribu, et qui le montrent physiquement et mentalement.
A propos d’anciens morceaux, vous qui avez milité pour la reconnaissance du génocide arménien, êtes-vous content de voir 2007 sacrée Année de l’Arménie en France ?
Bien sûr. Chaque année, je vais jouer pour des associations qui font la veillée de commémoration du génocide arménien. J’y suis tout le temps. Pour moi ce n’est pas un fonds de commerce. Quand j’ai l’occasion d’en parler à travers les médias, je fonce, c’est ça mon job ! Après, je ne suis pas l’Arménien de service, je ne vais pas écrire constamment des morceaux là-dessus. Ce que je veux, c’est utiliser la notoriété du groupe pour soutenir des actions autour de la reconnaissance du génocide arménien.
A votre avis, quelle forme revêt l’engagement de l’artiste, et jusqu’où doit-il aller ?
Je pense que la place de l’artiste est de soutenir des idées, et pas des personnalités. Dans No One, on utilise la musique comme une arme pour faire passer des choses, donc on donne aussi notre image pour soutenir des idées qui nous touchent. Quand le réseau Education sans frontières ou Act Up nous appellent, on y va, parce que c’est en adéquation avec les idées du groupe. Par contre, aller faire le people dans un meeting politique pour écouter des mecs parler, pour moi ça n’a aucun intérêt. Et je pense que les gens s’en foutent ! Il y a tellement de choses intéressantes à faire, tellement de causes à soutenir, que rester sur sa chaise, c’est pas bien… Quand je vois Springsteen faire le tour des Etats-Unis pour militer contre la guerre en Irak, ça c’est la classe.
Pas de collaborations sur ‘Gazoline’. No One n’a pas eu envie d’appeler Dantec suite à ses discours tendancieux ?
Les collaborations, c’est au gré des rencontres. Sur ‘Gazoline’, ça ne s’est pas présenté. Concernant Dantec, je crois qu’il y a eu beaucoup de désinformation. Sa réaction par rapport à l’islamisme provient de la peur d’être attaqué en tant qu’artiste. Quand Theo van Gogh se fait assassiner aux Pays-Bas parce qu’il a dénoncé l’islamisation de l’Europe, ça le fait flipper. Alors son discours a plutôt été mal interprété. Le problème, c’est qu’en tant qu’artiste on a une responsabilité, il faut faire gaffe à être clair dans ce qu’on dit…
Les textes de ‘Gazoline’ sont engagés et d’actualité. L’échéance électorale a rythmé l’enregistrement ?
Contrairement à ‘Revolution.com’, c’est davantage un album d’anticipation. On sait que Sarkozy va être omniprésent, que Chirac va tirer sa révérence. Alors on a l’idée de ‘L’Amour de la haine’, ‘Salut l’artiste’. ‘La Peur’, c’est le morceau fédérateur de l’album ; on est obnubilé par ce qui s’est passé aux élections précédentes, et on veut développer l’idée que la peur ne doit surtout pas être l’élément déterminant de cette campagne. Donc on écrit “Si la peur fait bouger, elle fait rarement avancer” parce qu’on ne va pas se laisser dicter notre conduite par les politiciens… On aurait pu sortir cet album n’importe quand, mais c’est sûr que ç’aurait été une faute professionnelle pour nous de ne pas être présent aujourd’hui avec ‘Gazoline’, parce que c’est une tribune, ça nous permet de défendre nos opinions à travers les médias.
Et qu’est-ce que vous pensez de l’absence de la culture dans les débats politiques ?
C’est quoi le plus important ? Que la campagne soit sociale, ou culturelle ? On ne peut pas reprocher à des gens d’avoir envie de bouffer plutôt que d’aller au ciné… Et puis, depuis que je suis en âge de comprendre la politique, je n’ai jamais eu la sensation que la culture était au coeur des débats ; bien sûr que c’est dommage, ça montre encore le peu d’intérêt des politiques à ce propos. Quand on voit ce que les candidats en pensent, c’est pathétique. Le Pen qui parle de culture, c’est virtuel. C’est quelque chose qui n’a aucun fondement, aucune base.
Pas seulement quand il s’agit de culture, d’ailleurs…
Quand on entend Bruno Gollnisch dire qu’il faut fermer les frontières pour résoudre le problème du chômage, c’est une aberration. Je ne comprends pas comment des gens votent encore pour Le Pen. Faire un vote contestataire en faveur d’un parti complètement en dehors de la réalité, je ne comprends pas. Ce n’est pas Gollnisch qui me fait peur, ce sont tous ces gens qui votent encore pour le FN… En plus, les gens qui votent pour eux, ce sont rarement les gens qui vivent dans la “jungle” de la cité. Le Pen joue de la peur et manipule l’opinion, il ne fait pas avancer la situation.
“T’es trop sérieux, sois plus léger, second degré, alors laisse-toi aller !” (1) Vous en avez parfois marre d’être un artiste engagé ?
Oui et non… Si j’ai fait ce groupe et choisi de parler de tels sujets, c’est parce que ça me plaît. Alors je peux aller défendre mon album pendant deux ans sans problème. Par contre, le propos de ‘Laisse-toi aller’ c’est que parfois j’écris sur un thème, et je trouve ça vraiment pas bon, je me dis que ce qui a déjà été écrit sur le sujet est beaucoup mieux. Dès que j’essaye d’être léger, je me trouve super nul. Chez moi la légèreté, ça pèse trois tonnes. Faire cette chanson, ça fait respirer un peu No One - en concert comme en studio - et ça me sert à parler un peu de moi, de ce que je ressens. C’est une libération.
p'tite salle, 200 spectateurs a peu pres, ambiance bien rock et un kemar bien bondissant !!!
un mix d'anciens morceaux et des new chansons de "gazoline...le top des NOII quoi...un grand pour "salut l'artiste" decu qu'ils n'aient pas jouer "la peur" par contre...
domage que le son etait moyen...si la zic etait bonne les paroles etaient un peu juste...et chez les NOII c'est quand meme un truc primordiale...
jeu de lumieres excelent a mon gout...la silouette de kemar dans l'ombre des spots c'est vraiment top !!!
faut que je les revois sur une grande scene ou leur jeu de scene doit prendre encore plus de dimension...a n'en plus douter les NOII sont dans la ligne des grands groupes rock french !!!
lu sur EVENE.FR
Kemar fait du bruit
INTERVIEW DE NO ONE IS INNOCENT
Dix ans après ‘Utopia’ et une errance ponctuée de projets solos, Kemar revient avec un No One is Innocent plus en forme que jamais et livre avec ‘Gazoline’ un album brillant et lourd de sens. L’occasion pour Kemar de faire le point sur ce qu’il est, ce qu’il aime et ce qu’il défend.
Qui l’eût cru ? Après avoir sorti l’hymne metal ‘La Peau’ en 1994 et l’un des meilleurs albums rock énervé de la fin des années 1990 (’Utopia’, 1997), No One is Innocent, trop tôt annoncé au panthéon des feus groupes cultes, est revenu en fanfare en 2004 avec un ‘Revolution.com’ énergique et soigné. Si on pouvait encore émettre quelques réserves quant à la force du No One is Innocent deuxième génération, Kemar lève définitivement les derniers doutes avec la sortie de ‘Gazoline’, un album rageur et mélodique, percutant et engagé. Du coup, c’est aussi l’occasion pour le frontman du groupe de disserter sur le plaisir de se retrouver sur scène avec No One, de faire part de ses coups de gueule et de partager sa bonne humeur contagieuse.
Beaucoup de temps s’est écoulé entre ‘Utopia’ et ‘Revolution.com’, et à peine le temps d’une tournée entre vos deux derniers opus. Qu’est-ce qui a précipité l’enregistrement de ‘Gazoline’ ?
En fait, quand on est sortis de la tournée, on était assez fatigués, mais K-Mille, François et moi étions motivés pour écrire. Moi un peu moins, car rincé en fin de tournée, mais K-Mille était à fond. Il a donné le déclic du démarrage des compos, et on s’est mis à travailler. Très vite on a eu ‘Gazoline’, ‘Salut l’artiste’… Les autres ont suivi.
Une fille sur la pochette de ‘Gazoline’, ça change…
Ouais, on en avait marre de montrer des mecs ! J’avais dit à Laurent (Séroussi, qui s’occupe des pochettes depuis le début de No One, ndlr) : “Cet album sera féminin ou ne sera pas !” Il se trouvait qu’à ce moment-là il était au Brésil, et il a eu l’idée et la possibilité de faire la pochette là-bas. Après, par rapport à l’interprétation qu’on donne à la pochette, on s’est dit qu’il fallait donner plus d’importance à la féminité dans la société, et j’avais envie d’associer la féminité avec le nom No One is Innocent. Pas dans l’idée de dire que les femmes sont aussi coupables que les hommes - j’avais d’ailleurs peur que ce soit trop violent -, mais toujours pour signifier que derrière le beau, il y a quelque chose qui se cache. Ici, c’est quelque chose de brûlant.
Faire cet album, c’était un bon prétexte pour remonter sur scène…
Toujours ! On a fait les deux premières dates de la tournée la semaine dernière (le 13 avril à Montbéliard, le 14 à Saint-Etienne, ndlr), c’était bon ! Physiquement c’était chaud, le rythme d’un concert de No One, c’est quelque chose ! Et puis, quand tu es en studio et que tu enregistres de nouveaux morceaux, tu n’as qu’une envie, c’est d’aller les essayer sur scène. C’est le propre de ce rock-là, qui ne nous enterre pas chez nous après avoir sorti l’album…
Et c’est agréable de rejouer d’anciens morceaux avec les nouveaux membres ?
Oui, parce qu’il y a une nouvelle interprétation, une complicité, et chacun ressent le texte différemment, c’est super, ça donne une nouvelle vie au morceau. Et puis, des titres comme ‘La Peau’, ‘Utopia’, ‘Henry’, ça fait partie de l’histoire de ce groupe, on ne va pas arrêter de les jouer !
Avec les débats actuels autour de l’immigration, ‘La Peau’, justement, a toujours un bel avenir sur scène…
Comme je dis souvent sur scène : malheureusement c’est un morceau qu’on aimerait arrêter de jouer. Mais en même temps, jouer ce morceau c’est toujours un moment super positif, au message fort. Même musicalement, c’est incontournable. Il y a un côté “tribu”, avec le vocabulaire indien, et c’est exactement le reflet de ce qu’on est sur scène : quatre mecs qui font partie d’une tribu, et qui le montrent physiquement et mentalement.
A propos d’anciens morceaux, vous qui avez milité pour la reconnaissance du génocide arménien, êtes-vous content de voir 2007 sacrée Année de l’Arménie en France ?
Bien sûr. Chaque année, je vais jouer pour des associations qui font la veillée de commémoration du génocide arménien. J’y suis tout le temps. Pour moi ce n’est pas un fonds de commerce. Quand j’ai l’occasion d’en parler à travers les médias, je fonce, c’est ça mon job ! Après, je ne suis pas l’Arménien de service, je ne vais pas écrire constamment des morceaux là-dessus. Ce que je veux, c’est utiliser la notoriété du groupe pour soutenir des actions autour de la reconnaissance du génocide arménien.
A votre avis, quelle forme revêt l’engagement de l’artiste, et jusqu’où doit-il aller ?
Je pense que la place de l’artiste est de soutenir des idées, et pas des personnalités. Dans No One, on utilise la musique comme une arme pour faire passer des choses, donc on donne aussi notre image pour soutenir des idées qui nous touchent. Quand le réseau Education sans frontières ou Act Up nous appellent, on y va, parce que c’est en adéquation avec les idées du groupe. Par contre, aller faire le people dans un meeting politique pour écouter des mecs parler, pour moi ça n’a aucun intérêt. Et je pense que les gens s’en foutent ! Il y a tellement de choses intéressantes à faire, tellement de causes à soutenir, que rester sur sa chaise, c’est pas bien… Quand je vois Springsteen faire le tour des Etats-Unis pour militer contre la guerre en Irak, ça c’est la classe.
Pas de collaborations sur ‘Gazoline’. No One n’a pas eu envie d’appeler Dantec suite à ses discours tendancieux ?
Les collaborations, c’est au gré des rencontres. Sur ‘Gazoline’, ça ne s’est pas présenté. Concernant Dantec, je crois qu’il y a eu beaucoup de désinformation. Sa réaction par rapport à l’islamisme provient de la peur d’être attaqué en tant qu’artiste. Quand Theo van Gogh se fait assassiner aux Pays-Bas parce qu’il a dénoncé l’islamisation de l’Europe, ça le fait flipper. Alors son discours a plutôt été mal interprété. Le problème, c’est qu’en tant qu’artiste on a une responsabilité, il faut faire gaffe à être clair dans ce qu’on dit…
Les textes de ‘Gazoline’ sont engagés et d’actualité. L’échéance électorale a rythmé l’enregistrement ?
Contrairement à ‘Revolution.com’, c’est davantage un album d’anticipation. On sait que Sarkozy va être omniprésent, que Chirac va tirer sa révérence. Alors on a l’idée de ‘L’Amour de la haine’, ‘Salut l’artiste’. ‘La Peur’, c’est le morceau fédérateur de l’album ; on est obnubilé par ce qui s’est passé aux élections précédentes, et on veut développer l’idée que la peur ne doit surtout pas être l’élément déterminant de cette campagne. Donc on écrit “Si la peur fait bouger, elle fait rarement avancer” parce qu’on ne va pas se laisser dicter notre conduite par les politiciens… On aurait pu sortir cet album n’importe quand, mais c’est sûr que ç’aurait été une faute professionnelle pour nous de ne pas être présent aujourd’hui avec ‘Gazoline’, parce que c’est une tribune, ça nous permet de défendre nos opinions à travers les médias.
Et qu’est-ce que vous pensez de l’absence de la culture dans les débats politiques ?
C’est quoi le plus important ? Que la campagne soit sociale, ou culturelle ? On ne peut pas reprocher à des gens d’avoir envie de bouffer plutôt que d’aller au ciné… Et puis, depuis que je suis en âge de comprendre la politique, je n’ai jamais eu la sensation que la culture était au coeur des débats ; bien sûr que c’est dommage, ça montre encore le peu d’intérêt des politiques à ce propos. Quand on voit ce que les candidats en pensent, c’est pathétique. Le Pen qui parle de culture, c’est virtuel. C’est quelque chose qui n’a aucun fondement, aucune base.
Pas seulement quand il s’agit de culture, d’ailleurs…
Quand on entend Bruno Gollnisch dire qu’il faut fermer les frontières pour résoudre le problème du chômage, c’est une aberration. Je ne comprends pas comment des gens votent encore pour Le Pen. Faire un vote contestataire en faveur d’un parti complètement en dehors de la réalité, je ne comprends pas. Ce n’est pas Gollnisch qui me fait peur, ce sont tous ces gens qui votent encore pour le FN… En plus, les gens qui votent pour eux, ce sont rarement les gens qui vivent dans la “jungle” de la cité. Le Pen joue de la peur et manipule l’opinion, il ne fait pas avancer la situation.
“T’es trop sérieux, sois plus léger, second degré, alors laisse-toi aller !” (1) Vous en avez parfois marre d’être un artiste engagé ?
Oui et non… Si j’ai fait ce groupe et choisi de parler de tels sujets, c’est parce que ça me plaît. Alors je peux aller défendre mon album pendant deux ans sans problème. Par contre, le propos de ‘Laisse-toi aller’ c’est que parfois j’écris sur un thème, et je trouve ça vraiment pas bon, je me dis que ce qui a déjà été écrit sur le sujet est beaucoup mieux. Dès que j’essaye d’être léger, je me trouve super nul. Chez moi la légèreté, ça pèse trois tonnes. Faire cette chanson, ça fait respirer un peu No One - en concert comme en studio - et ça me sert à parler un peu de moi, de ce que je ressens. C’est une libération.
Invité- Invité
Re: [No One Is Innocent]
mortimers a écrit:super concert des NOII
p'tite salle, 200 spectateurs a peu pres, ambiance bien rock et un kemar bien bondissant !!!
un mix d'anciens morceaux et des new chansons de "gazoline...le top des NOII quoi...un grand pour "salut l'artiste" decu qu'ils n'aient pas jouer "la peur" par contre...
domage que le son etait moyen...si la zic etait bonne les paroles etaient un peu juste...et chez les NOII c'est quand meme un truc primordiale...
jeu de lumieres excelent a mon gout...la silouette de kemar dans l'ombre des spots c'est vraiment top !!!
faut que je les revois sur une grande scene ou leur jeu de scene doit prendre encore plus de dimension...a n'en plus douter les NOII sont dans la ligne des grands groupes rock french !!!
je les ai vus deux fois la première à un petit festival il y a 2 ans à clisson qui s'appelait les fest'hysteries (festival en partie metal avec eths en autre tête d'affiche) sur une petite scene où c'était sympa mais ça manquait de monde
la deuxième fois c'était au festival Couvre-Feu à Corsept il y a deux ans encore, le même jour que La Ruda Salska, et là c'était vraiment énorme...
en concert ils ont vraiment la pêche et ils dynamisent bien le public.
Seul point négatif ils se sont barrés comme des voleurs à la fin du concert, et pour ceux qui voulaient des dédicaces ben ils pouvaient se toucher...
heureusement de ce point de vue là La Ruda a fait monter la moyenne !
frozhalf- Les Mauvaises Langues
-
Nombre de messages : 682
Age : 39
Points : 6556
Date d'inscription : 13/12/2006
Re: [No One Is Innocent]
Nouvel album le 25 janvier 2011.
Pat_atra- La Bavarde
-
Nombre de messages : 3116
Age : 59
Localisation : Ain
Points : 8535
Date d'inscription : 07/09/2004
Re: [No One Is Innocent]
Le nouvel album s'appelle Drugstore et sort le 25 janvier prochain ...
Les extraits "Qui je suis " et "Le monde entier" sont en écoute sur le Myspace !
http://www.myspace.com/myspaceisinnocent
https://www.facebook.com/nooneisinnocentofficiel
Les extraits "Qui je suis " et "Le monde entier" sont en écoute sur le Myspace !
http://www.myspace.com/myspaceisinnocent
https://www.facebook.com/nooneisinnocentofficiel
jeancle- Assistant
-
Nombre de messages : 4018
Age : 59
Localisation : Aurillac (15)
Points : 17806
Date d'inscription : 12/10/2004
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum