Jean-Patrick Capdevielle
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Jean-Patrick Capdevielle
Aprés une longue traversée du désert, il revient avec l'album " hérétique 13", disponible par correspondance depuis le 15 décembre
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jeancle- Assistant
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Re: Jean-Patrick Capdevielle
en vla un qui ne m'avait pas trop manque...
a redecouvrir quand meme...
a redecouvrir quand meme...
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Re: Jean-Patrick Capdevielle
Capdevielle, j'aimais beaucoup l'album qu'il a fait pour Emma Shapplin, premier album merveilleux de la regrettée Emma Shapplin...
Capdevielle, je connais pas trop, mais apparemment c'est tout de même un ponte...
Capdevielle, je connais pas trop, mais apparemment c'est tout de même un ponte...
Re: Jean-Patrick Capdevielle
donk a écrit:Capdevielle, j'aimais beaucoup l'album qu'il a fait pour Emma Shapplin, premier album merveilleux de la regrettée Emma Shapplin...
elle est morte???
sinon capdevielle il a chanté un truc connu nan? me souviens plus quoi ...
Re: Jean-Patrick Capdevielle
Jean-Patrick Capdevielle 1979 .......
j'etais meeme pas nee moueeeeeeeeeeeeeeeee
Moi je traîne dans le désert depuis plus de 28 jours
Et déjà quelque mirages me disent de faire demi-tour
La fée des neiges me suit tapant sur son tambour
Les fantômes du syndicat des marchands de certitudes
Se sont glissés jusqu'à ma lune, reprochant mon attitude
C'est pas très populaire le goût d'la solitude
{Refrain:}
Quand t'es dans le désert depuis trop longtemps
Tu t'demandes à qui ça sert
toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu'on veut te faire jouer
Les yeux bandés
Tous les rapaces du pouvoir menés par un gros clown sinistre
Foncent vers moi sur la musique d'un piètre accordéoniste ,
Je crois pas qu'ils viennent me parler d'la joie d'la vie d'artiste
D' l'autre coté ,voilà Caïn toujours aussi lunatique
Son œil est rempli de sable et sa bouche pleine de verdicts
Il trône dans un cimetière de vielles pelles mécaniques
{Refrain}
Les gens disent que les poètes finissent tous trafiquants d'armes
On est 50 millions de poètes, c'est ça qui doit faire notre charme
Sur une lune de Saturne mon perroquet sonne l'alarme
C'est drôle mais tout le monde s'en fout
Vendredi tombant nul part, y a Robinson solitaire
qui m'a dit : " j'trouve plus mon île, vous n'aurriez pas vu la mer "
Va falloir que j'lui parle du thermonucléaire
{Refrain}
Hier un homme est venu vers moi d'une démarche un peu traînante
Quand j'lui ai demandé t'as tenu combien de jours, il a répondu : bientôt 30
J' m' souviens qu'il espérait tenir jusqu'à 40
Quand j'lui ai demandé son message, il m'a dit d'un air tranquille:
Les politiciens finiront tous au font d'un asile
J'ai compris que je pourrais bientôt regagner la ville
{Refrain 3x}
j'etais meeme pas nee moueeeeeeeeeeeeeeeee
Moi je traîne dans le désert depuis plus de 28 jours
Et déjà quelque mirages me disent de faire demi-tour
La fée des neiges me suit tapant sur son tambour
Les fantômes du syndicat des marchands de certitudes
Se sont glissés jusqu'à ma lune, reprochant mon attitude
C'est pas très populaire le goût d'la solitude
{Refrain:}
Quand t'es dans le désert depuis trop longtemps
Tu t'demandes à qui ça sert
toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu'on veut te faire jouer
Les yeux bandés
Tous les rapaces du pouvoir menés par un gros clown sinistre
Foncent vers moi sur la musique d'un piètre accordéoniste ,
Je crois pas qu'ils viennent me parler d'la joie d'la vie d'artiste
D' l'autre coté ,voilà Caïn toujours aussi lunatique
Son œil est rempli de sable et sa bouche pleine de verdicts
Il trône dans un cimetière de vielles pelles mécaniques
{Refrain}
Les gens disent que les poètes finissent tous trafiquants d'armes
On est 50 millions de poètes, c'est ça qui doit faire notre charme
Sur une lune de Saturne mon perroquet sonne l'alarme
C'est drôle mais tout le monde s'en fout
Vendredi tombant nul part, y a Robinson solitaire
qui m'a dit : " j'trouve plus mon île, vous n'aurriez pas vu la mer "
Va falloir que j'lui parle du thermonucléaire
{Refrain}
Hier un homme est venu vers moi d'une démarche un peu traînante
Quand j'lui ai demandé t'as tenu combien de jours, il a répondu : bientôt 30
J' m' souviens qu'il espérait tenir jusqu'à 40
Quand j'lui ai demandé son message, il m'a dit d'un air tranquille:
Les politiciens finiront tous au font d'un asile
J'ai compris que je pourrais bientôt regagner la ville
{Refrain 3x}
Invité- Invité
Re: Jean-Patrick Capdevielle
Ricky tu "Pratique Pakdesvieilles" .......
Ca veut dire que tu te tapes aussi des jeunes ??????????
Ca veut dire que tu te tapes aussi des jeunes ??????????
fabdegrass- Les Grosses Papilles
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Re: Jean-Patrick Capdevielle
Eh Donk, elle était parente avec Sharlly Shapplin !!!!!!!!!!!!!
Lui aussi il est mourru mais y'a longtemps .........
Lui aussi il est mourru mais y'a longtemps .........
fabdegrass- Les Grosses Papilles
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Re: Jean-Patrick Capdevielle
surtoutfabdegrass a écrit:Ricky tu "Pratique Pakdesvieilles" .......
Ca veut dire que tu te tapes aussi des jeunes ??????????
Re: Jean-Patrick Capdevielle
Emma Shapplin n'est évidemment pas morte, mais n'a pas rencontré le succès qu'elle aurait mérité...
Re: Jean-Patrick Capdevielle
donk a écrit:Emma Shapplin n'est évidemment pas morte, mais n'a pas rencontré le succès qu'elle aurait mérité...
avec ricky???
Invité- Invité
Re: Jean-Patrick Capdevielle
vimortimers a écrit:donk a écrit:Emma Shapplin n'est évidemment pas morte, mais n'a pas rencontré le succès qu'elle aurait mérité...
avec ricky???
Re: Jean-Patrick Capdevielle
jeancle a écrit:
Le site
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excelent cet album...j'suis vraiment surpris d'apprecier autant...
...j'avais certainement des prejuges sur le bonhomme
c'est vraiment pas mal...tres bonne poprock french
sur le site operation :
Chaque semaine
un ancien Album ou un 45 Tours de Jean Patrick Capdevielle a telecharger gratuitement
pour decouvrir plus....
Invité- Invité
Re: Jean-Patrick Capdevielle
mortimers a écrit:
sur le site operation :
Chaque semaine
un ancien Album ou un 45 Tours de Jean Patrick Capdevielle a telecharger gratuitement
pour decouvrir plus....
cette semaine DERNIER RAPPEL (Live : disque 2/2)
1983
Invité- Invité
Re: Jean-Patrick Capdevielle
tiens remontre le bout de son nez le jp....
"Annus horribilis !"
Par J-P C., samedi 3 janvier 2009 à 13:13 :: EDITOS :: #153 :: rss
"Annus", ça veut dire année, et rien d'autre; je rassure mes lecteurs les plus pudibonds... On était fin 92 et la belle mère de Lady Di citait un de ses`proches en disant ça (Le proche, c’était Sir Edward Ford - Wikipedia, quand tu nous tiens...)
Faut dire que la pauvre dame (la belle mère, je veux dire) avait de quoi se plaindre: ça ne marchait pas très fort dans sa petite famille et, en plus, un de ses jolis petits châteaux venait de partir en fumée - partiellement, je vous rassure, il lui restait encore quelques centaines de chambres pour emmener son prince qu’on sort (ouais, bon…) en week end.
Nous, à l'époque, souvenez vous – si vous étiez déjà arrivés dans ce monde de souffrances -, nous, ça nous touchait quand même qu'à moitié, cette histoire d'année épouvantable...
Aujourd'hui, c'est autre chose, c'est à nous qu'on la promet "l'Horribilis…"
Et ils sont tous d'accord sur ce point.
Quand je dis "tous" - sans me prendre pour La Besace ou pour Jeanmarielep - je parle des économistes médaillés, des banquiers, des politiciens et autres rastaquouères; qui ont organisé toute cette histoire; qui l'ont vue venir sans rien faire et qui, maintenant, poussent des cris d'orfraie (et nous demanderont sous peu de mettre la main à la poche, en nous accusant de n'être qu'une bande d'égoïstes si nous rechignons à le faire) Je sais, je sais, d'après Littré, le vrai sens de rastaquouère, c'est: "Personnage exotique qui étale un luxe suspect et de mauvais goût" Ben quoi… où est le problème... Tout bien considéré, rastaquouère, ça leur va bien – quoique rataquouère, ça serait pas mal non plus. Je m’égare peut-être, mais je persiste et je signe (le relapse n'est jamais loin de l'hérétique, que voulez-vous...) Vous allez me dire: "Ouais, mais toi, tu es comme ta mère, tu n'aimes personne"
D'abord. je ne vois pas de quel droit vous évoqueriez la mémoire de ma sainte génitrice en ce début d'année fertile en questionnements; ensuite, ce que vous diriez serait faux et archi faux.
J'aime des tas de gens et des tas de choses; tenez, en ce moment, j'aime Gary Cooper dans "l'Homme de la Rue" de Frank Capra ("Meet John Doe", en grand breton)
Le film date de 1941 et je l'ai vu trois fois en cinq jours à IBZ
L'histoire ?
Barbara Stanwyck joue le rôle d'Ann Mitchell, une journaliste furieuse de s'être fait virer du quotidien dans lequel elle tenait une rubrique (problèmes de rentabilité... en 41 aussi).
Pour emmerder son patron, elle écrit une fausse lettre d'un certain "John Doe", un quidam qui menacerait de se suicider pour protester contre le maux de la société.
La lettre déclenche l'intérêt du public et Ann Mitchell est réembauchée sur l’heure pour raconter l'histoire de John Doe.
Seulement John Doe doit avoir un visage
Après un casting au rayon paumés, un joueur de base ball de seconde zone (Gary Cooper) est nominé – comme dirait l’immense Nikos A. -, il a besoin d'argent pour faire opérer son bras blessé ; il accepte de devenir John Doe.
Je ne vous dirai pas comment ça se termine - ça vous donnera peut-être envie d'aller voir le film - sachez simplement que lorsque le journal a besoin de trouver le message que John Doe va transmettre aux foules esbaudies (il ne peut pas se contenter de protester, sans rien proposer – on est en 1941…), Ann Mitchell se souvient que son médecin de père aimait le genre humain (il y en a), et elle trouve une idée simple dans le cahier de mémoires de ce brave homme: le monde irait beaucoup mieux si chacun essayait de se rapprocher de son voisin pour lui apporter un peu de chaleur.
A l’âge du net, un voisin, c’est aussi quelqu’un qui vit à des centaines de kilomètres de chez vous et partage malgré tout avec vous quelques goûts ou quelques idées.
C’est un peu ce que nous avons vécu sur le site, non ?
J'en ai gardé la nostalgie et si l'année 2009 est aussi "Horribilis" qu'on nous le promet, il me semble que la chaleur de nos échanges et une aventure vécue ensemble pourrait nous aider à atteindre 2010 sans trop de dommage.
Je suis parti sur un coup de tête, c'est vrai, mais je reviens; on peut remettre les pendules à zéro et partir pour un nouveau voyage, si vous le voulez.
Pour ma part, je vous donnerai à entendre les trucs que j'ai enregistrés – vous verrez, c’est assez… divers…; je vous parlerai de mon projet hyper mégalo/pharaonique de radio sur le web et je vous proposerai de participer à une aventure qui mettra un peu de couleur dans notre grisaille ambiante.
On échangera de nouveau, on se verra, peut-être… Il faut se serrer quand il fait froid ; enfin, je crois…
A vous de voir si vous avez envie d’un deuxième tour de manège.
Je ne veux pas terminer cet édito sans dire merci à ceux qui n'ont jamais déserté le site et ont continué à l'animer héroïquement; merci à ceux qui vont peut-être revenir; merci, enfin, à ceux qui ont pensé à mon anniversaire (et que j'ai oublié de remercier)
Bonne année et PTBSDV
J-P
P.S. Vous allez voir, 2009 ne sera pas aussi épouvantable que ça, et ce bon Paulo avait sans doute raison, quand il chantait: "Her majesty is a pretty nice girl, but she doesn't have much to say" Tom, tom, tom…
"Annus horribilis !"
Par J-P C., samedi 3 janvier 2009 à 13:13 :: EDITOS :: #153 :: rss
"Annus", ça veut dire année, et rien d'autre; je rassure mes lecteurs les plus pudibonds... On était fin 92 et la belle mère de Lady Di citait un de ses`proches en disant ça (Le proche, c’était Sir Edward Ford - Wikipedia, quand tu nous tiens...)
Faut dire que la pauvre dame (la belle mère, je veux dire) avait de quoi se plaindre: ça ne marchait pas très fort dans sa petite famille et, en plus, un de ses jolis petits châteaux venait de partir en fumée - partiellement, je vous rassure, il lui restait encore quelques centaines de chambres pour emmener son prince qu’on sort (ouais, bon…) en week end.
Nous, à l'époque, souvenez vous – si vous étiez déjà arrivés dans ce monde de souffrances -, nous, ça nous touchait quand même qu'à moitié, cette histoire d'année épouvantable...
Aujourd'hui, c'est autre chose, c'est à nous qu'on la promet "l'Horribilis…"
Et ils sont tous d'accord sur ce point.
Quand je dis "tous" - sans me prendre pour La Besace ou pour Jeanmarielep - je parle des économistes médaillés, des banquiers, des politiciens et autres rastaquouères; qui ont organisé toute cette histoire; qui l'ont vue venir sans rien faire et qui, maintenant, poussent des cris d'orfraie (et nous demanderont sous peu de mettre la main à la poche, en nous accusant de n'être qu'une bande d'égoïstes si nous rechignons à le faire) Je sais, je sais, d'après Littré, le vrai sens de rastaquouère, c'est: "Personnage exotique qui étale un luxe suspect et de mauvais goût" Ben quoi… où est le problème... Tout bien considéré, rastaquouère, ça leur va bien – quoique rataquouère, ça serait pas mal non plus. Je m’égare peut-être, mais je persiste et je signe (le relapse n'est jamais loin de l'hérétique, que voulez-vous...) Vous allez me dire: "Ouais, mais toi, tu es comme ta mère, tu n'aimes personne"
D'abord. je ne vois pas de quel droit vous évoqueriez la mémoire de ma sainte génitrice en ce début d'année fertile en questionnements; ensuite, ce que vous diriez serait faux et archi faux.
J'aime des tas de gens et des tas de choses; tenez, en ce moment, j'aime Gary Cooper dans "l'Homme de la Rue" de Frank Capra ("Meet John Doe", en grand breton)
Le film date de 1941 et je l'ai vu trois fois en cinq jours à IBZ
L'histoire ?
Barbara Stanwyck joue le rôle d'Ann Mitchell, une journaliste furieuse de s'être fait virer du quotidien dans lequel elle tenait une rubrique (problèmes de rentabilité... en 41 aussi).
Pour emmerder son patron, elle écrit une fausse lettre d'un certain "John Doe", un quidam qui menacerait de se suicider pour protester contre le maux de la société.
La lettre déclenche l'intérêt du public et Ann Mitchell est réembauchée sur l’heure pour raconter l'histoire de John Doe.
Seulement John Doe doit avoir un visage
Après un casting au rayon paumés, un joueur de base ball de seconde zone (Gary Cooper) est nominé – comme dirait l’immense Nikos A. -, il a besoin d'argent pour faire opérer son bras blessé ; il accepte de devenir John Doe.
Je ne vous dirai pas comment ça se termine - ça vous donnera peut-être envie d'aller voir le film - sachez simplement que lorsque le journal a besoin de trouver le message que John Doe va transmettre aux foules esbaudies (il ne peut pas se contenter de protester, sans rien proposer – on est en 1941…), Ann Mitchell se souvient que son médecin de père aimait le genre humain (il y en a), et elle trouve une idée simple dans le cahier de mémoires de ce brave homme: le monde irait beaucoup mieux si chacun essayait de se rapprocher de son voisin pour lui apporter un peu de chaleur.
A l’âge du net, un voisin, c’est aussi quelqu’un qui vit à des centaines de kilomètres de chez vous et partage malgré tout avec vous quelques goûts ou quelques idées.
C’est un peu ce que nous avons vécu sur le site, non ?
J'en ai gardé la nostalgie et si l'année 2009 est aussi "Horribilis" qu'on nous le promet, il me semble que la chaleur de nos échanges et une aventure vécue ensemble pourrait nous aider à atteindre 2010 sans trop de dommage.
Je suis parti sur un coup de tête, c'est vrai, mais je reviens; on peut remettre les pendules à zéro et partir pour un nouveau voyage, si vous le voulez.
Pour ma part, je vous donnerai à entendre les trucs que j'ai enregistrés – vous verrez, c’est assez… divers…; je vous parlerai de mon projet hyper mégalo/pharaonique de radio sur le web et je vous proposerai de participer à une aventure qui mettra un peu de couleur dans notre grisaille ambiante.
On échangera de nouveau, on se verra, peut-être… Il faut se serrer quand il fait froid ; enfin, je crois…
A vous de voir si vous avez envie d’un deuxième tour de manège.
Je ne veux pas terminer cet édito sans dire merci à ceux qui n'ont jamais déserté le site et ont continué à l'animer héroïquement; merci à ceux qui vont peut-être revenir; merci, enfin, à ceux qui ont pensé à mon anniversaire (et que j'ai oublié de remercier)
Bonne année et PTBSDV
J-P
P.S. Vous allez voir, 2009 ne sera pas aussi épouvantable que ça, et ce bon Paulo avait sans doute raison, quand il chantait: "Her majesty is a pretty nice girl, but she doesn't have much to say" Tom, tom, tom…
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