Marie-Laure Béraud

marrant y'a rien sur elle ichiiiiiiiiiiiiii...
quel oublie !!!!

ancienne(?) compagne et plume d' arno il me semble...

http://www.myspace.com/marielaureberaud

http://www.marie-laure-beraud.be/


Marie-Laure quitte sa ville natale, Lyon, pour s’établir à Paris au début des années 80 où elle obtiendra d’ailleurs sa licence en littérature anglaise et américaine en 1985.

Quelques notes de musique…
Elle rencontre le compositeur Philippe Bourgogne. Le premier simple, C’est pas l’Pérou, paraît sur 45trs chez Warner et connaît un succès immédiat en radio. Marie-Laure signe le texte et Bourgogne, la musique. Il est à noter que le guitariste attitré de Bowie, Mick Ronson, participe à l’enregistrement de ce titre.
Un second simple paraîtra, Salamanca, en 1989 toujours chez Warner. Second succès en radio ! Bourgogne signe la musique et Marie-Laure, le texte.
Béraud/Bourgogne signent derechef la plupart des titres et Arno co-signe la musique de Tout m’est égal. L’album est produit et co-arrangé par Chaz Jankel.Marie-Laure s’exilera alors à Bruxelles pour rejoindre le père de ses enfants.L'album est composé de 11 chansons originales et de deux reprises : un standard de Malone, As the years go passing by, et un autre de Van Parijs, Sans lendemain, connaissent un succès retentissant en Europe et en Amérique du Nord. Le tandem Jankel Béraud est un croisement hybride entre chanson française contemporaine et java, musette et tango d’antan.Turbigo 12-12 séduit à la fois le grand public et la critique. D’ailleurs, l’album recevra le prix de l’Académie Charles Cros en 1993. Marie-Laure se produira sur les scènes belges, hollandaises, allemandes, françaises et américaines. Elle partagera le scène avec Arthur H. lors du festival d’été de Québec, au Canada en 1993. Et lors de cette même année, elle montera sur les planches new-yorkaises du Ball Roomdurant 5 soirs consécutifs,scène mythique où Peggy Lee s’est souvent produite, . Les critiques américaines sont dithyrambiques.

Quelques pinceaux ; quelques couleurs ; quelques formes…
Marie-laure renoue avec la même équipe pour se consacrer à la réalisation du second album. Elle séjournera régulièrement chez Jankel à Londres pour y enregistrer une dizaine de maquettes. Toutefois, elle est de plus en plus tentée par l’aventure multidisciplinaire : Marie-Laure éprouve de plus en plus le besoin de s’exprimer par l’art pictural. Elle tâte du pinceau, réalise des collages et écrit même des poèmes surréalistes. Elle présente alors ses premières expositions en France et en Belgique. Ainsi, au cœur des années 90’, Marie-Laure attire de nouveau l’attention grâce à ses talents d’artiste en arts visuels. Ses œuvres ont pu, entre autres, êtres appréciées à l’exposition d’art moderne à Liège, au Cirque divers ainsi qu’à la galerie.be. Ses dernières œuvres picturales réalisées il y a peine 2 ans proposent des portraits géants et érotiques de femme peintes sur papier Kraft.

Quelques mots, quelques idées particulières…
Elle sera par ailleurs invitée à se joindre à un groupe d’écrivains qui offre des ateliers d’écriture dans différentes écoles belges. Marie-Laure publiera quelques nouvelles dont "Le temps, Lola s’en tape" qui s’inspire de l’expérience qu’elle a vécue en côtoyant des personnes atteintes de schizophrénie lors des ateliers. Au moment du scandale de la vache folle en 2001, elle publie une nouvelle atypique, Steak Exterminateur, qui met en scène un boucher végétarien et cocaïnomane.

Quelques notes de musique…(BIS)
Et puis, le chanson la tiraille à nouveau. Elle entâme donc une série de concerts très intimes avec un groupe qu’elle a fondé pour l’occasion : Béraud and the birds, au cours des années 2001 et 2002. Ensemble, ils s’offrent le plaisir de présenter des relectures de standards de jazz des années 40’, 50’ et 60’. Bien que nous pouvons identifier certaines influences, Marie-Laure réussit à transcender la mode du trio de jazz passe-partout et s’approprie d’une manière fort personnelle des chansons qu’elle interprète avec passion, vulnérabilité et profondeur. De cette expérience naîtra un album singulier : Dans mon salon paru le 22 juin 2004 chez les disques La Tribu. Marie-Laure a donc réuni ses musiciens fétiches, soit Charles Loos au piano, Koen Decauter au saxophone ainsi que Dajo Decauter à la contrebasse, dans son salon bruxellois non insonorisé le trio a enregistré avec pour seul équipement une prise directe, 10 sublimes chansons.

Parallèlement à la sortie de ce disque au Canada, Marie-Laure offrait le 27 avril 2004, en Belgique, un nouvel album de chansons qui s’intitule ELLE chez EMI Capitol/Need Records. On y retrouve, entre autres, deux reprises fort étonnantes : Les mots d’amour popularisée par Piaf et Les cons (complainte)de Raymond Queneau dont l’interprète originale fut Gréco. L’album ELLE s’inscrit dans la continuité de son prédécesseur, Turbigo 12-12 et offre une mosaïque de femmes paumées et parfois même désillusionnées qu’on croirait tout droit sorties de l’univers romanesque de Dorothy Parker ou bien de Raymond Carver. Ses chansons empruntent donc fréquemment le ton propre des complaintes de femmes abandonnées, mais lucides. On y reconnaît donc l’héritage légué par Kurt Weill, Marianne Oswald, Edith Piaf, etc. Toutefois, ces chansons sont bel et bien ancrées dans le 21e siècle. Malgré ses clins d’œil aux valses mécaniques, les mélodies daignent même flirter avec l’électronique et les rythmes arabes. Marie-Laure les a présentées dans le cadre du festival Le Botanique, le 1er juin 2004, à Bruxelles. Les inconditionnels de Catherine Ringer, Eleni Mandell et même de Tom Waits risquent de flancher pour ce nouvel opus fort ambitieux. Ad Cominotto y signe d’ailleurs des arrangements nocturnes et sulfureux.

Quelques pas sur la scène…
Au fil de l’été 2004, Marie-Laure assurera la promotion de son album jazz au Canada et elle sera en spectacle au Grand Théâtre de Québec où elle restera une quinzaine de jours puisque faisant partie du jury du festival d'été.
Aujourd'hui le quatrième album est en passe d'être achevé. Ad Cominotto et Marie-Laure travaillent ensemble sur ce disque où Bert Dockx vient parfois jouer des guitares.
Pour ce qui est de l'écriture elle prépare un nouveau recueil de poésie illustré et participe à la création d'un spectacle pour novembre 2007 au théâtre de Rouen dans le cadre d'une carte blanche octroyée à François Brice par le chorégraphe Wim Vandekeybus.
Par ailleurs elle signe trois chansons sur le dernier album d'Arno dont le fameux "Mourir à plusieurs"

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ça me dit quelque chose ... il en a pas été question ds le topic arno?