zaza fournier
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zaza fournier
j'ai entendu cette dame hier en attendant mon train...
c'est poa trop mal...dans la lignee de certaines autres chanteuses du moment!!!
mais moi z'aime assez
http://profile.myspace.com/index.cfm?fuseaction=user.viewprofile&friendID=154534921
Paris
04/11/2008 -
Vingt-trois ans, gentiment sexy et la langue bien pendue : Zaza Fournier fait son entrée dans la catégorie des chanteuses accordéonistes avec un premier album éponyme.
Beaucoup de filles sûres d’elles-mêmes – ou tout moins certaines de ce qu’elles ne veulent pas – sont apparues ces dernières années. Adrienne Pauly, Mademoiselle K et Anaïs, pour n’en citer que trois, ont montré les crocs d’une génération rétive aux romantismes tout d’une pièce et aussi bien armée pour le couple que pour les Assedic : accents rock, fringues noires, plume sardonique. Voici qu’arrive une autre couleur du féminin acide avec Zaza Fournier, tout en teintes vives et en robes innocemment sexy, qui vient faire entendre un drôle de romantisme teigneux. Chez elle, l’insolence est plus une seconde nature qu’une détermination, le do it yourself est plus une pente générationnelle qu’une construction délibérée. Elle réclame l’amour aveugle alors que tout chez elle clame qu’elle n’y croit pas.
Premier album à vingt-trois ans, dans lequel son timbre puissant (assez proche de celui de Patricia Kaas) s’habille d’un mélange très habile de variétés au premier degré et d’esthétique postmoderne au chic très actuel. Autour de l’accordéon de Zaza Fournier, on croit entendre les Négresses Vertes, des Rita Mitsouko unplugged, une world music strictement parisienne, de l’Adamo détourné. Pourtant, elle devait être comédienne. Mais vendre des sandwichs pour gagner sa vie l’ennuie. Elle décide de joindre l’utile à l’utile et chante dans la rue (“enfin, pas dans les endroits interdits, le plus souvent à Beaubourg”). Dès le début, outre les reprises habituelles du genre, elle chante son propre répertoire. Très vite, elle s’oriente vers les bars à chansons et les petites scènes. Tout en poursuivant sa formation de théâtre, elle passe presque deux ans à peaufiner les chansons du disque, qui arrivent très naturellement au catalogue d’une major. Et la voici maintenant, précédée d’un buzz parisien prometteur, nouvelle recrue au pays des filles de caractère.
c'est poa trop mal...dans la lignee de certaines autres chanteuses du moment!!!
mais moi z'aime assez
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Paris
04/11/2008 -
Vingt-trois ans, gentiment sexy et la langue bien pendue : Zaza Fournier fait son entrée dans la catégorie des chanteuses accordéonistes avec un premier album éponyme.
Beaucoup de filles sûres d’elles-mêmes – ou tout moins certaines de ce qu’elles ne veulent pas – sont apparues ces dernières années. Adrienne Pauly, Mademoiselle K et Anaïs, pour n’en citer que trois, ont montré les crocs d’une génération rétive aux romantismes tout d’une pièce et aussi bien armée pour le couple que pour les Assedic : accents rock, fringues noires, plume sardonique. Voici qu’arrive une autre couleur du féminin acide avec Zaza Fournier, tout en teintes vives et en robes innocemment sexy, qui vient faire entendre un drôle de romantisme teigneux. Chez elle, l’insolence est plus une seconde nature qu’une détermination, le do it yourself est plus une pente générationnelle qu’une construction délibérée. Elle réclame l’amour aveugle alors que tout chez elle clame qu’elle n’y croit pas.
Premier album à vingt-trois ans, dans lequel son timbre puissant (assez proche de celui de Patricia Kaas) s’habille d’un mélange très habile de variétés au premier degré et d’esthétique postmoderne au chic très actuel. Autour de l’accordéon de Zaza Fournier, on croit entendre les Négresses Vertes, des Rita Mitsouko unplugged, une world music strictement parisienne, de l’Adamo détourné. Pourtant, elle devait être comédienne. Mais vendre des sandwichs pour gagner sa vie l’ennuie. Elle décide de joindre l’utile à l’utile et chante dans la rue (“enfin, pas dans les endroits interdits, le plus souvent à Beaubourg”). Dès le début, outre les reprises habituelles du genre, elle chante son propre répertoire. Très vite, elle s’oriente vers les bars à chansons et les petites scènes. Tout en poursuivant sa formation de théâtre, elle passe presque deux ans à peaufiner les chansons du disque, qui arrivent très naturellement au catalogue d’une major. Et la voici maintenant, précédée d’un buzz parisien prometteur, nouvelle recrue au pays des filles de caractère.
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