Chaîne humaine pour le retour des frises du Parthénon
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Chaîne humaine pour le retour des frises du Parthénon
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ATHENES (Reuters) - Des milliers d'étudiants ont formé une chaîne humaine autour de l'Acropole d'Athènes pour exiger la restitution des frises de marbre retirées du Parthénon il y a plus de 200 ans sur ordre de lord Elgin, ambassadeur britannique auprès de l'Empire ottoman.
Arborant des vestes orange vif où l'on pouvait lire "Marbres du Parthénon - Réunification immédiate", quelque 2.000 étudiants se sont donné la main autour du temple antique en demandant le retour des frises et statues exposées au British Museum.
Le Parthénon et les autres temples de l'Acropole symbolisent l'apogée de l'âge classique grec, celui de Périclès et du sculpteur Phidias (Ve siècle av. J.-C.).
"Si l'on donne aux jeunes une vision, ils peuvent la transformer en réalité", a déclaré Giorgos Hasiakis, secrétaire du syndicat des enseignants d'Athènes qui a contribué à organiser la manifestation.
"Les marbres appartiennent à un lieu légitime et les étudiants poursuivront ce type d'action jusqu'à leur retour."
Selon Hasiakis, 65.000 signatures ont été réunies et 900 lettres de protestation adressées à la direction du British Museum.
La défunte actrice et ministre grecque de la Culture Melina Mercouri avait pris l'initiative d'une campagne virulente pour le retour des frises à Athènes dans les années 1980, en parlant à leur propos d'un pillage de trésors nationaux.
Le British Museum a rejeté toutes les requêtes en faisant valoir que les frises étaient mieux entretenues à Londres, à l'écart de la pollution athénienne qui a fortement endommagé les frises restées sur place.
ATHENES (Reuters) - Des milliers d'étudiants ont formé une chaîne humaine autour de l'Acropole d'Athènes pour exiger la restitution des frises de marbre retirées du Parthénon il y a plus de 200 ans sur ordre de lord Elgin, ambassadeur britannique auprès de l'Empire ottoman.
Arborant des vestes orange vif où l'on pouvait lire "Marbres du Parthénon - Réunification immédiate", quelque 2.000 étudiants se sont donné la main autour du temple antique en demandant le retour des frises et statues exposées au British Museum.
Le Parthénon et les autres temples de l'Acropole symbolisent l'apogée de l'âge classique grec, celui de Périclès et du sculpteur Phidias (Ve siècle av. J.-C.).
"Si l'on donne aux jeunes une vision, ils peuvent la transformer en réalité", a déclaré Giorgos Hasiakis, secrétaire du syndicat des enseignants d'Athènes qui a contribué à organiser la manifestation.
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