takana zion
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takana zion
Un chouette artiste à découvrir Takana zion
le clip : https://www.dailymotion.com/video/x278mh_sweet-words_music
en live c encore mieux
https://www.dailymotion.com/video/x3juk4_takana-sweet-words-france2newnewnew_music
Takana Zion est né le 30 juin 1986 à Conakry (Guinée). Dès son plus jeune âge, il s’intéresse à l’Histoire et se sent concerné par les inégalités qui rongent non seulement son pays mais aussi le monde entier. Il prend conscience que l’association du verbe et du son constitue une arme puissante et décide de s’en servir. Le jeune homme commence alors à intégrer le milieu du rap et du dancehall guinéen, où il se fait très vite connaître et respecter.
Après avoir beaucoup écouté, dans sa jeunesse, des artistes comme Peter Tosh ou Joseph Hill du groupe Culture, Takana Zion se sent de plus en plus attiré par le reggae. Il décide alors d’exprimer toutes ses convictions sociales, culturelles et spirituelles par le biais de cette musique. Le jeune chanteur se fait remarquer par certains manageurs et producteurs, avant de partir au Mali rejoindre Brother Sam - un doyen des rastas ghanéens.
À Bamako, il rencontre beaucoup d’artistes, dont Tiken Jah Fakoly. Ce dernier l’encourage et l’aide à monter sur scène. De cette collaboration découlera sa participation, avec Beta Simon, à l'"African Reggae Festival", organisé dans la capitale du Mali, ainsi que sa prestation remarquée à l’Elysée Montmartre à Paris, en 2006.
S’en suit un travail en studio, notamment avec Manjul. Installé depuis 2001 à Bamako, ce touche-à-tout - multi-instrumentiste, compositeur et ingénieur du son - a notamment enregistré, en 2007, le second volume de « Dub To Mali » sur lequel on retrouve un titre de Takana Zion : « I Am A Freeman ».
C’est finalement avec Manjul que le jeune espoir du reggae africain réalise et produit l’album « Zion Prophet » entre décembre 2006 et janvier 2007. Très attendu, cet opus est sorti le 18 juin 2007 sur le label Makafresh. Le Guinéen y exprime ses émotions dans différentes langues (Soussou, Malinke, anglais et français). L’album se veut très varié : à un morceau nyabinghi peut succéder un autre de style new roots, rock steady, dancehall ou même blues.
Takana Zion a également enregistré trois dub plates pour le Creata Sound System, originaire de Caen, sur la mixtape « Conscious people », sortie en 2006.
Liens : http://www.myspace.com/takanazion
Discographie :
Takana Zion, « Zion Prophet » (Makasound/Discograph), 2007.
« I Am A Freeman » de Takana Zion, apparaît sur l’album de Manjul, « Dub To Mali vol. 2 » (Humble Ark/Discograph), 2007.
le clip : https://www.dailymotion.com/video/x278mh_sweet-words_music
en live c encore mieux
https://www.dailymotion.com/video/x3juk4_takana-sweet-words-france2newnewnew_music
Takana Zion est né le 30 juin 1986 à Conakry (Guinée). Dès son plus jeune âge, il s’intéresse à l’Histoire et se sent concerné par les inégalités qui rongent non seulement son pays mais aussi le monde entier. Il prend conscience que l’association du verbe et du son constitue une arme puissante et décide de s’en servir. Le jeune homme commence alors à intégrer le milieu du rap et du dancehall guinéen, où il se fait très vite connaître et respecter.
Après avoir beaucoup écouté, dans sa jeunesse, des artistes comme Peter Tosh ou Joseph Hill du groupe Culture, Takana Zion se sent de plus en plus attiré par le reggae. Il décide alors d’exprimer toutes ses convictions sociales, culturelles et spirituelles par le biais de cette musique. Le jeune chanteur se fait remarquer par certains manageurs et producteurs, avant de partir au Mali rejoindre Brother Sam - un doyen des rastas ghanéens.
À Bamako, il rencontre beaucoup d’artistes, dont Tiken Jah Fakoly. Ce dernier l’encourage et l’aide à monter sur scène. De cette collaboration découlera sa participation, avec Beta Simon, à l'"African Reggae Festival", organisé dans la capitale du Mali, ainsi que sa prestation remarquée à l’Elysée Montmartre à Paris, en 2006.
S’en suit un travail en studio, notamment avec Manjul. Installé depuis 2001 à Bamako, ce touche-à-tout - multi-instrumentiste, compositeur et ingénieur du son - a notamment enregistré, en 2007, le second volume de « Dub To Mali » sur lequel on retrouve un titre de Takana Zion : « I Am A Freeman ».
C’est finalement avec Manjul que le jeune espoir du reggae africain réalise et produit l’album « Zion Prophet » entre décembre 2006 et janvier 2007. Très attendu, cet opus est sorti le 18 juin 2007 sur le label Makafresh. Le Guinéen y exprime ses émotions dans différentes langues (Soussou, Malinke, anglais et français). L’album se veut très varié : à un morceau nyabinghi peut succéder un autre de style new roots, rock steady, dancehall ou même blues.
Takana Zion a également enregistré trois dub plates pour le Creata Sound System, originaire de Caen, sur la mixtape « Conscious people », sortie en 2006.
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« I Am A Freeman » de Takana Zion, apparaît sur l’album de Manjul, « Dub To Mali vol. 2 » (Humble Ark/Discograph), 2007.
Re: takana zion
Comme ça c'est mieux
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