perd pas le nord la gamine
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perd pas le nord la gamine
New York, États-Unis - Une jeune fille de douze ans a annoncé poursuivre en justice les forces de l'ordre new-yorkaises après que ces dernières l'ont menottée pour avoir gribouillé sur son bureau d'école.
Alexa Gonzalez, 12 ans, est une écolière semble-t-il tout ce qu'il y a de plus normal, dans la ville de New York. Pourtant, sa mère explique qu'en février dernier, et alors que sa fille avait écrit à l'encre lavable sur son bureau "J'aime mes amies Abby et Faith", ses professeurs l'avaient immédiatement conduite chez le directeur. La police ayant été appelée, explique l'AFP, elle s'est déplacée jusqu'à l'école, a menotté la jeune fille avant de l'emmener au poste de police où elle est restée les poignets entravés durant plus de deux heures.L'adolescente a de ce fait décidé de porter plainte contre la police, estimant que cette dernière a bafoué ses droits, et a utilisé la force de manière excessive. Elle réclame au titre de préjudice, un million de dollars.
Re: perd pas le nord la gamine
Bon, faut que j'drive tout de suite les miennes pour qu'elles graphitent les tables dans leurs bahuts, ça nous permettrai de voir large pour les vacances ...Ricky Banlieue a écrit:sa fille avait écrit à l'encre lavable sur son bureau .../... Elle réclame au titre de préjudice, un million de dollars
Re: perd pas le nord la gamine
c'est pitoyable ce genre d'histoire...
l'ecole, les flics et la gamine...
j'comprends plus rien moueeeeeeeeeee !!
l'ecole, les flics et la gamine...
j'comprends plus rien moueeeeeeeeeee !!
Invité- Invité
Re: perd pas le nord la gamine
C'est n'importe quoi ce bordel...
Ça me fait penser à ça chez nous :
MARSEILLE - La fille d'une policière insultée, 3 lycéens arrêtés
Trois lycéens marseillais ont été placés en garde à vue vendredi pendant plusieurs heures, fouillés au corps et menottés pour avoir insulté la fille d'une commandante de police, apprend-on de source syndicale. L'incident s'est produit à l'extérieur du lycée Antonin-Artaud, dans le 13e arrondissement de Marseille.
Trois élèves d'une classe de première ont insulté pour une raison indéterminée la jeune fille, élève d'une autre classe de première de l'établissement, lors d'une pause-cigarette. Il n'y aurait pas eu de violence physique autre que le "jet d'un bouchon de liège" sur la tête de la lycéenne, qui a prévenu sa mère, officier de police dans la commune voisine de Plan-de-Cuques. "Dans la demi-heure suivante, 12 fonctionnaires de police, à bord de trois véhicules de service, dirigés par un commandant de la police nationale, se rendaient au lycée", a raconté à Reuters le secrétaire académique du SNES, Alain Barlatier. "Nous sommes en plein délire. C'est une dérive sécuritaire extrêmement grave où un officier de police confond sa fonction et ses relations familiales", a ajouté le syndicaliste, également professeur au lycée Antonin-Artaud. "Cette dérive n'est pas seulement liée à la personnalité de l'officier de police incriminé, mais résulte d'un climat tout sécurité qui permet ce type de dérapage", a-t-il estimé.
"Le préfet délégué pour la sécurité et à la défense a saisi ce jour l'IGPN (l'inspection générale de la police nationale) afin de déterminer les circonstances de l'interpellation, et les responsabilités de chacun dans le déroulé de la procédure", a indiqué dans la soirée la préfecture dans un communiqué. Elle évoque les "circonstances discutables" qui ont conduit à l'interpellation et à la mise en garde à vue des trois élèves. La mère de la jeune fille et un autre officier de police ont exigé la remise des lycéens sous peine de procéder à leur arrestation à la sortie de midi. "Pour éviter une émeute à la sortie du lycée", la proviseure de l'établissement a donné son accord.
"La police a agi en toute illégalité" (SNES)
Les trois lycéens ont été conduits au commissariat de Plan-de-Cuques, dont ne dépend pas administrativement le lycée Artaud, où ils ont été placés en garde à vue avec fouille au corps, interrogatoire, fichage, menottes aux poignets. "Ils ont eu droit à la prise d'empreintes ADN et photos anthropométriques", a précisé Alain Barlatier. Ils ont ensuite été transférés dans un autre commissariat de la commune marseillaise, où ils ont de nouveau été fouillés et interrogés. Les trois jeunes ont été libérés en fin d'après-midi après l'intervention de l'avocat de l'une des familles.
"La police a agi en toute illégalité", estime le représentant du SNES. "Aucune demande n'a été formulée à l'établissement, aucune plainte n'a été déposée avant l'intervention des policiers qui n'avaient pas de commission rogatoire. Aucun flagrant délit enfin ne permettait à la police d'agir hors de sa juridiction", a-t-il dit.
Les familles ont demandé au préfet de police de diligenter une enquête et de prendre les sanctions nécessaires. Elles ont également saisi la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde). Le SNES a pour sa part demandé au recteur de l'académie d'Aix-Marseille d'intervenir "vigoureusement auprès des autorités compétentes". "Il faut que toute la lumière soit faite sur cette affaire, que les décisions prises soient à la hauteur de la gravité des événements. Les dérapages qui se sont produits au lycée Artaud la semaine dernière ne doivent pas se reproduire dans un autre établissement de notre académie ou d'ailleurs", a-t-il précisé dans un communiqué.
Ça me fait penser à ça chez nous :
MARSEILLE - La fille d'une policière insultée, 3 lycéens arrêtés
Trois lycéens marseillais ont été placés en garde à vue vendredi pendant plusieurs heures, fouillés au corps et menottés pour avoir insulté la fille d'une commandante de police, apprend-on de source syndicale. L'incident s'est produit à l'extérieur du lycée Antonin-Artaud, dans le 13e arrondissement de Marseille.
Trois élèves d'une classe de première ont insulté pour une raison indéterminée la jeune fille, élève d'une autre classe de première de l'établissement, lors d'une pause-cigarette. Il n'y aurait pas eu de violence physique autre que le "jet d'un bouchon de liège" sur la tête de la lycéenne, qui a prévenu sa mère, officier de police dans la commune voisine de Plan-de-Cuques. "Dans la demi-heure suivante, 12 fonctionnaires de police, à bord de trois véhicules de service, dirigés par un commandant de la police nationale, se rendaient au lycée", a raconté à Reuters le secrétaire académique du SNES, Alain Barlatier. "Nous sommes en plein délire. C'est une dérive sécuritaire extrêmement grave où un officier de police confond sa fonction et ses relations familiales", a ajouté le syndicaliste, également professeur au lycée Antonin-Artaud. "Cette dérive n'est pas seulement liée à la personnalité de l'officier de police incriminé, mais résulte d'un climat tout sécurité qui permet ce type de dérapage", a-t-il estimé.
"Le préfet délégué pour la sécurité et à la défense a saisi ce jour l'IGPN (l'inspection générale de la police nationale) afin de déterminer les circonstances de l'interpellation, et les responsabilités de chacun dans le déroulé de la procédure", a indiqué dans la soirée la préfecture dans un communiqué. Elle évoque les "circonstances discutables" qui ont conduit à l'interpellation et à la mise en garde à vue des trois élèves. La mère de la jeune fille et un autre officier de police ont exigé la remise des lycéens sous peine de procéder à leur arrestation à la sortie de midi. "Pour éviter une émeute à la sortie du lycée", la proviseure de l'établissement a donné son accord.
"La police a agi en toute illégalité" (SNES)
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