De pire en pire
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De pire en pire
Les associations de défense des maisons de disque n'en ont pas fini de faire respecter leurs lois et continuent les actions en justice d'un côté comme de l'autre.
Visiblement fatiguées de courir après les millions d'internautes s'échangeant sans vergogne autant de fichiers illégalement chaque jour, elles s'en sont ensuite pris aux éditeurs de logiciels Peer to Peer, les accusant d'inciter les utilisateurs à s'échanger ce genre de fichiers, mais également aux sites fournissant des paroles ou encore des partitions de chansons, les sommant pour des raisons relativement obscures de retirer ces dernières de leurs sites.
Aujourd'hui, la MPA (Music Publisher's Association, à ne pas confondre avec la MPAA), qui représente les entreprises détenant les paroles et les partitions des musiques, annonce qu'elle compte lancer à travers les États-Unis des campagnes de sensibilisation contre des sites de paroles ou de partitions en 2006...
"Ça s'en va et ça revient..."
Vous devez certainement vous souvenir de ces nombreuses campagnes que nous avons connu, des slogans comme "téléchargez nous légalement", de doigts d'honneur affichés à la télévision et bien d'autre encore.
Aujourd'hui, ce n'est toujours pas terminé, puisque de nouvelles campagnes arrivent pour inciter les internautes à ne pas utiliser les sites diffusant des paroles ou des partitions de chansons.
Plusieurs sites, notamment français, ont en effet fait les frais ce cette nouvelle décision des associations de défense des maisons de disque, se trouvant alors obligés de retirer certains contenus de leurs pages, voire carrément de fermer le site.
Mais cette fois, les paroles vont encore plus loin et certains craignent que les actes suivent.
Laurent Kaiser, Président de la MPA, affirme vouloir voir les possesseurs de ces sites en prison.
"Jetons-en quelques-uns en prison, je pense que cela sera plus efficace", affirme le président de l'association, ne s'avouant pas satisfait par le projet de campagne de sensibilisation prévu pour 2006.
"La machine de Xerox (comprenez : la photocopieuse) a été la grande usurpatrice de nos revenus potentiels, mais aujourd'hui, Internet nous fais perdre bien plus qu'une partie de notre travail, nous devons donc prendre une position plus proactive".
Plus pondéré dans ses propos, David Israelite, président du NMPA (National Music Publisher's Association), ajoute que "la copie non autorisée des paroles et des partitions d'une chanson empêche les auteurs de gagner leur vie, et n'est pas différent du vol", "Les éditeurs de musique et les auteurs utiliseront tous les outils légaux en leur possession pour faire cesser cette tendance"
Visiblement fatiguées de courir après les millions d'internautes s'échangeant sans vergogne autant de fichiers illégalement chaque jour, elles s'en sont ensuite pris aux éditeurs de logiciels Peer to Peer, les accusant d'inciter les utilisateurs à s'échanger ce genre de fichiers, mais également aux sites fournissant des paroles ou encore des partitions de chansons, les sommant pour des raisons relativement obscures de retirer ces dernières de leurs sites.
Aujourd'hui, la MPA (Music Publisher's Association, à ne pas confondre avec la MPAA), qui représente les entreprises détenant les paroles et les partitions des musiques, annonce qu'elle compte lancer à travers les États-Unis des campagnes de sensibilisation contre des sites de paroles ou de partitions en 2006...
"Ça s'en va et ça revient..."
Vous devez certainement vous souvenir de ces nombreuses campagnes que nous avons connu, des slogans comme "téléchargez nous légalement", de doigts d'honneur affichés à la télévision et bien d'autre encore.
Aujourd'hui, ce n'est toujours pas terminé, puisque de nouvelles campagnes arrivent pour inciter les internautes à ne pas utiliser les sites diffusant des paroles ou des partitions de chansons.
Plusieurs sites, notamment français, ont en effet fait les frais ce cette nouvelle décision des associations de défense des maisons de disque, se trouvant alors obligés de retirer certains contenus de leurs pages, voire carrément de fermer le site.
Mais cette fois, les paroles vont encore plus loin et certains craignent que les actes suivent.
Laurent Kaiser, Président de la MPA, affirme vouloir voir les possesseurs de ces sites en prison.
"Jetons-en quelques-uns en prison, je pense que cela sera plus efficace", affirme le président de l'association, ne s'avouant pas satisfait par le projet de campagne de sensibilisation prévu pour 2006.
"La machine de Xerox (comprenez : la photocopieuse) a été la grande usurpatrice de nos revenus potentiels, mais aujourd'hui, Internet nous fais perdre bien plus qu'une partie de notre travail, nous devons donc prendre une position plus proactive".
Plus pondéré dans ses propos, David Israelite, président du NMPA (National Music Publisher's Association), ajoute que "la copie non autorisée des paroles et des partitions d'une chanson empêche les auteurs de gagner leur vie, et n'est pas différent du vol", "Les éditeurs de musique et les auteurs utiliseront tous les outils légaux en leur possession pour faire cesser cette tendance"
Rastalion69- Rue d'la Gouaille
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Re: De pire en pire
PARIS (Reuters) - Vingt-huit personnes soupçonnées d'être impliquées dans un réseau de contrefaçon de films sur internet ont été arrêtées et placées en garde à vue dans une vingtaine de villes françaises lundi, annonce le parquet de Paris.
Deux autres personnes ont été arrêtées en Suisse dans la même procédure, sur commission rogatoire internationale.
Le juge parisien David Bénichou enquête sur un groupe appelé "GGTeam", qui revendiquerait l'activité de mise à disposition de films sur internet.
Les gendarmes français, agissant sur commission rogatoire de ce magistrat, ont saisi "de très nombreux CD-Rom contrefaits et des matériels informations en quantité importante", ajoute le parquet de Paris.
Les enquêteurs ne s'intéressent qu'aux internautes qui favorisent la propagation du téléchargement illégal, en adressant à leurs correspondants l'adresse des sites qui le permettent.
"Ceux qui se sont limités à télécharger des films, sans poster de liens sur les forums qu'ils fréquentent, ont été exclus du champ de cette enquête", explique le parquet.
Deux autres personnes ont été arrêtées en Suisse dans la même procédure, sur commission rogatoire internationale.
Le juge parisien David Bénichou enquête sur un groupe appelé "GGTeam", qui revendiquerait l'activité de mise à disposition de films sur internet.
Les gendarmes français, agissant sur commission rogatoire de ce magistrat, ont saisi "de très nombreux CD-Rom contrefaits et des matériels informations en quantité importante", ajoute le parquet de Paris.
Les enquêteurs ne s'intéressent qu'aux internautes qui favorisent la propagation du téléchargement illégal, en adressant à leurs correspondants l'adresse des sites qui le permettent.
"Ceux qui se sont limités à télécharger des films, sans poster de liens sur les forums qu'ils fréquentent, ont été exclus du champ de cette enquête", explique le parquet.
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