Retraites et 35H

môssieur est trop bon

ben moi il me plait bien cet esprit mamzrickien en tout cas

bossez qu'ils disent... et surtout si vous êtes pas content n'hésitez pas la porte est grande ouverte et il y en a dix qui attentdent pour prendre votre place !!!! tant que le Français, pardon l'etre humain en général pensera à son confort personnel avant de penser au bien être de l'humanité et de la planète on va pas avancer.... les grandes révoltes sont révolues....

Moi aussi j'ai d'autres priorités que les vacances à La Baule ou à St Trop, je fuis ce genre d'endroits bourrés de cons prétentieux et je suis fière de dire que je préfère passer un bon moment en écoutant un bon concert entre amis dans une salle à dimension humaine ou en buvant un café avec mes amis plutôt que ramener des photos d'une mer d'émeraude....

J'en retire beaucoup plus de satisfaction et de bien être, mais peu de gens voient la vie de ce point de vue... alors on va peut être crever de toutes leur lois à la con de tortionnaires (j'ai encore 35 ans à faire au bas mot) mais je profite de ce que m'offre la vie MAINTENANT en savourant chaque minute de sourire, de bonheur, de musique, de plaisir car si je crève d'épuisement au boulot pour pouvoir élever décemment mon fils je lui apprends aussi à avoir d'autre piorités que la nouvelle WI FI ou la dernière Game Boy, c'est pas facile je l'avoue mais c'est important, il FAUT que les gens comprennent qu'il y a autre chose dans la vie que ce que nous vantent les médias tous les jours.........

Excellent exemple de ce qu'est notre avenir si nous ne répandons pas rapidement les cadavres de ces enculés dans les rues.

Pour répondre à la question de Ricky l'autre jour, oui la violence engendre la violence... celle que nous subissons quotidiennement, qui détruit chaque jour des milliers de foyers, qui condamne des continents entiers à crever pour que quelques multinationales et quelques dizaines de milliers d'enfants de chiens comme celui-ci continuent d'amasser des fortunes dont ils ne savent plus quoi faire sauf de les réinvestir dans des entreprises de destruction humaine de plus en plus performantes, cette violence qu'on nous impose doit déboucher très vite sur notre violence, c'est la seule et unique réponse à apporter, tout le reste n'est qu'inutiles digressions.

Et ceux qui soutiennent ce type de vision de ce que doit être la société de demain ne doivent évidemment pas y échapper.

Quant à S Dassault lui même, si vie son oeuvre ne sont qu'une compilation des plus immondes compromissions dont une nation dirigée par une droite néo fachiste et le patronat sont capables : mairie (Corbeil) achetée et réachetée par distribution de billets aux électeurs hésitants et ponction dans la caisse des entreprises Dassault pour sauver un bilan d'élu catastrophique, entreprise héritée de papa (Serge est plutôt considéré comme le crétin de la famille, et je confirme j'ai travaillé 4 ans avec lui) qui n'a survécu que grâce à des commandes totalement inutiles de l'état, donc à coups d'impôts, qui justifient aujourd'hui que nous soyons amenés à travailler plus dans des conditions plus dégradantes, avec des services publics détruits, une vie d'élu passée au seul service du lobbying de ses intérêts personnels...

un homme de droite comme les autres, quoi, un des premiers à coucher au bout d'un fusil, un des siens si possible.

Merci pour la vidéo en tout cas, j'avais raté cet énième épisode.

Ouais ... il est bien mal placé pour parler de ceux qui réussissent ... si il avait pas eu son père celui-là il tiendrait peut-être un autre language ...

c'est qd même hallucinant de reprocher à l'état d'aider ceux qui galèrent (enfin plutot d'avoir aidé parce que ça va bientot etre fini), d'avoir des fonctionnaires quand on s'est gavé des contrats de l'état
enfin entre ceux qui sont en haut grâce à papa et ceux qui sont en haut en ayant trimé et qui reprochent à ceux qui s'en sortent pas de pas faire assez d'effort ...

PARIS (AFP) - Sept organisations syndicales et patronales ont été auditionnées mercredi par le Conseil constitutionnel, dans le cadre d'un recours déposé par les parlementaires PS, PCF et Verts contre la loi sur la démocratie sociale et le temps de travail, dont un volet a trait aux 35 heures.

CGT, CFDT, FO, CFTC et CFE-CGC, côté salariés, le Medef et la CGPME, côté patronat, ont été reçus pendant 30 minutes chacun à la demande du Conseil constitutionnel.

Le Conseil doit rendre au plus tard dans un mois un avis sur la loi adoptée le 23 juillet au Parlement, dont le volet "temps de travail" permet de renégocier largement en entreprise le dispositif des 35 heures.

Les syndicats ont unanimement fait valoir que certaines dispositions de la loi, comme la possibilité de généraliser les forfaits-jours des cadres, mettaient en danger la santé et la sécurité et ne respectaient pas le droit au repos.

"Nous avons rappelé qu'une décision du comité des ministres du Conseil de l'Europe de mai 2005, avait estimé que la situation des cadres avec forfaits constituait une violation de l'article 2.1 de la Charte sociale européenne, et que la loi aggravait cette situation", a indiqué à l'AFP le secrétaire national CFDT, Hervé Garnier.

Les syndicats ont également dénoncé une remise en cause du droit à la négociation collective, "puisque l'employeur, s'il n'y a pas d'accords avec les syndicats, pourra décider unilatéralement" (CFDT), notamment concernant les plafonds par défaut des forfaits-jours (235 jours). De plus, les accords de branche sur le temps de travail antérieurs à la loi deviendront caducs au 31 décembre 2009, provoquant "un déséquilibre" (CGT).

Le Medef a, lui, maintenu ses positions sur un texte que la présidente de l'organisation Laurence Parisot avait qualifié d'"intrinsèquement bon". La CGPME "a confirmé son intérêt à ce que le contingent d'heures supplémentaires puisse être dépassé de manière plus souple", a souligné son vice-président, Jean-François Veysset.

Concernant la réforme de la représentativité, CGT et CFDT ont confirmé leur avis favorable en soulignant néanmoins les problèmes dans la représentation des salariés d'entreprises sous-traitantes.

Force Ouvrière, opposée à la réforme, a rappelé ses objections sur l'absence de critères pour la représentativité patronale et sur l'"incertitude de la sincérité de la compilation des résultats des élections" professionnelles, retenues pour mesurer l'audience des syndicats.

La CFE-CGC et la CFTC ont pointé une inégalité vis-à-vis des salariés des très petites entreprises (24% des salariés), qui ne votent pas aux élections professionnelles, et "seront donc exclus de cette +démocratie sociale+" (CFTC).

Solidaires (Sud) qui n'a pas été consulté par le Conseil constitutionnel car non-représentatif au plan national, a transmis ses doléances par courrier aux neuf sages, concernant notamment le critère de deux ans d'ancienneté nécessaire pour prétendre à la représentativité.