PPFC - Entre les ondes
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PPFC - Entre les ondes
De nouvelles ondes souffleraient-elles sur le combo parisien ? L’album précédent m’avait un peu laissée sur ma faim, il y avait de bonnes choses certes, mais pas suffisamment pour que j’adhère complètement à leur univers. Force m’est de constater – et j’en suis ravie – qu’après une écoute complète et attentive d’Entre les Ondes, je ne peux que revenir sur mon avis !
C’est une belle entrée en matière qui nous est proposée avec Ca ne se discute pas. Un morceau qui va crescendo avec l’entrée des instruments et donne le ton pour le reste de l’album.
Une progression que l’on retrouve sur la plupart des morceaux, avec de belles parties de cordes (Ma ville / Les rêves / Van Gogh) et la présence de nombreux instruments (accordéon, banjo, scie musicale, cuivres, harmonica…) se laissant bercer par les ondes bénéfiques et salvatrices émanant de la musique.
Un jeu délié des instruments qui colle parfaitement aux textes. Car PPFC nous conte des histoires, avec tendresse (Berceuse / Au bord du lac / Van Gogh), drôlerie (Ah la la / Plus rien) et nous invite à faire place à l’inconscient (Les rêves) et à regarder autour de nous avec un œil neuf (Le bon, la pute et le truand / Toutes ces conneries).
Avec Entre les Ondes, PPFC démontre d’une évolution certaine, l’ensemble a pris en maturité, cela transparaît dans l’écriture et les arrangements.
Il n’y a que les imbéciles, dit-on, qui ne changent pas d’avis. Cette fois-ci, je suis conquise ! Merci !
Sandrine PALINCKX.
www.myspace.com/zoneppfc
C’est une belle entrée en matière qui nous est proposée avec Ca ne se discute pas. Un morceau qui va crescendo avec l’entrée des instruments et donne le ton pour le reste de l’album.
Une progression que l’on retrouve sur la plupart des morceaux, avec de belles parties de cordes (Ma ville / Les rêves / Van Gogh) et la présence de nombreux instruments (accordéon, banjo, scie musicale, cuivres, harmonica…) se laissant bercer par les ondes bénéfiques et salvatrices émanant de la musique.
Un jeu délié des instruments qui colle parfaitement aux textes. Car PPFC nous conte des histoires, avec tendresse (Berceuse / Au bord du lac / Van Gogh), drôlerie (Ah la la / Plus rien) et nous invite à faire place à l’inconscient (Les rêves) et à regarder autour de nous avec un œil neuf (Le bon, la pute et le truand / Toutes ces conneries).
Avec Entre les Ondes, PPFC démontre d’une évolution certaine, l’ensemble a pris en maturité, cela transparaît dans l’écriture et les arrangements.
Il n’y a que les imbéciles, dit-on, qui ne changent pas d’avis. Cette fois-ci, je suis conquise ! Merci !
Sandrine PALINCKX.
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Sandrine- Les Grosses Papilles
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Re: PPFC - Entre les ondes
c'est vrai que le précédent m'avait quelque peu déçu....pas encore écouté "entre les ondes"
Re: PPFC - Entre les ondes
Sandrine Un groupe que j'ai plus apprécié en live qu'en album... J'vais aller jeter une oreille aux nouveaux morceaux.
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