vive la france !!!

ben voilà à quoi ça sert !

Et à part ça ?

grognonjc a écrit:Et à part ça ?

pour esssplicationner comment marche les balises

mais bien sur!

Ricky_Banlieue a écrit:

grognonjc a écrit:Et à part ça ?

pour esssplicationner comment marche les balises

Et plus précisément ...

Mamzelle Bulle a écrit:mais bien sur!

kikiya une réclamation ?

grognonjc a écrit:

Ricky_Banlieue a écrit:

grognonjc a écrit:Et à part ça ?

pour esssplicationner comment marche les balises

Et plus précisément ...

ben ! regardes mon post 'code" et sans code

nan rien!!!!!!!!!!! je faisais prendre l'air à la marmotte

Mamzelle Bulle a écrit:nan rien!!!!!!!!!!! je faisais prendre l'air à la marmotte

ah bon ! j'ai cru un moment

En fait si tu veux mettre une image qui s'affiche pas tu utilises code ... super

grognonjc a écrit:En fait si tu veux mettre une image qui s'affiche pas tu utilises code ... super

la solution de facilité c'est de demander à morti de la poster pour toi!

vala Morti c'est la fonction "code" qu'on a

Vive le Da Morti code

par kerdan brownec

...

j'viens d'apprendre ca...

putain mais c'est quoi ce pays????

vive le foot

vive les cons

vive la france

...et pisssssssssss vive quoi ????

no futur !!!!


Un policier tue par balle un supporteur du PSG et en blesse un autre
24/11/2006 18h54

Des policiers montent la garde dans la nuit du 23 au 24 novembre 2006 près du lieu où un policier a ouvert le feu sur des supporteurs du PSG
AFP - Stéphane de SakutinPARIS (AFP) - Un policier martiniquais a tué par balle un supporteur du Paris SG et en a blessé un autre jeudi soir à Paris à l'issue d'un match Hapoël de Tel-Aviv-PSG en secourant un spectateur juif pris à partie par des ultras, un drame soulignant une nouvelle fois le racisme et la violence de certains fans de foot.

"Ces violences sont scandaleuses, les propos racistes, quelle que soit leur nature, sont honteux et indignes et doivent être condamnés", a déclaré Jacques Chirac à Lucques (Italie) à l'issue d'un sommet franco-italien.

Dominique de Villepin a appelé à des "dispositions nouvelles" pour que "la répression pour tous ceux qui usent des violences dans les stades soit exemplaire".

Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, a jugé "dramatique" l'incident au Parc des Princes, indiquant que le policier, Antoine Granomort, "avait argué de sa qualité" avant de faire feu sur les deux supporteurs. M. Sarkozy rencontrera samedi les associations de supporteurs et les présidents du Paris SG et de la Ligue de football.

Le ministre à l'Aménagement du territoire, Christian Estrosi, a annoncé vendredi à l'Assemblée nationale que "plusieurs interpellations sont intervenues" sans donner plus de précisions. Dès jeudi soir, huit personnes avient été interpellées et cinq supporteurs du Paris SG ont été placés en garde à vue pour "injures racistes et antisémites".


Supporter tué: de la "légitime défense" pour l'Unsa-Police. Durée: 0mn54
AFP TVLa mort de Julien Quemener, 25 ans (bien 25), membre, selon la police, du "kop" (tribune de supporteurs, ndlr) de Boulogne, a été constatée vers 23h30. Sa mère a assuré que son fils, technicien en électro-ménager, "n'était pas du genre à chercher la bagarre" et qu'"il avait plutôt tendance à se sauver".

Le jeune homme n'a jamais eu de "problèmes particuliers" dans les stades, hormis "il y a trois ans, il avait un fumigène au fond de son sac, et il avait passé une nuit en garde-à-vue", selon elle.

Mounir Douchaer, 26 ans, autre membre de ce kop, grièvement blessé au poumon mais dont la vie n'est pas en danger, a été hospitalisé.

Selon le procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin, la police envisage qu'une seule balle ait pu atteindre les deux hommes, touchant le blessé au poumon et M. Quemener au coeur. Cette version a été confirmée vendredi par Yanniv Hazout, Français de confession juive secouru par le policier.

Vendredi, le policier était toujours en garde à vue dans les locaux de l'Inspection générale des services (IGS), la "police des polices".

Vers 23h00, à l'issue du match perdu 2-4 par le PSG et ponctué, selon la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme), par des insultes antisémites et des cris à la gloire de Hitler, M. Granomort, fonctionnaire en civil de la police des transports, s'est porté au secours de Yanniv Hazout, venu soutenir le club israélien et menacé par une centaine de supporteurs du Paris SG.

Selon plusieurs médias israéliens, quelque 3.500 supporteurs du club israélien étaint présents dans le stade dont 400 venus d'Israel.

Selon M. Marin, les deux hommes ont été cernés aux abords du stade par une foule menaçante qui les a traités de "sale nègre" et "sale juif".

Le policier a fait usage en vain d'une bombe lacrymogène puis a tiré une balle de 9 mm avec son Sig Sauer, selon la préfecture de police. Il a été frappé à la tempe et au bas ventre, selon M. Sarkozy.

Quatre syndicats policiers -Unsa-police, Alliance, SGP-FO et Synergie- ont estimé qu'il avait agi en "légitime défense".



Des policiers inspectent les lieux après qu'un de leurs collègues en civil a abattu par balle un supporteur du PSG le 23 novembre 2006
AFP - Stéphane de Sakutin"L'enquête confiée à l'IGS est ouverte pour homicide volontaire mais pourrait être transformée en coups ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Se pose la question de la légitime défense", selon le procureur.

Le policier et le supporteur se sont ensuite réfugiés dans un McDonald proche. Des vitres ont été brisées avant que des renforts policiers ne dispersent les assaillants.

Le président de la Fédération française de football, Jean-Pierre Escalettes, a dénoncé la violence et le racisme "qui détruisent les valeurs du sport".

"C'est la période la plus sombre du Paris SG", a dit le président du PSG Alain Cayzac. Mais si le club a, dans un communiqué, exprimé "sa profonde compassion à la famille du supporteur décédé", il n'a pas dit un mot sur les injures racistes ou antisémites. Un silence dénoncé par SOS Racisme et l'Union des étudiants juifs de France.

les supporters du psg ... un faf de moins c'est pas un mal

ouais j'ai vu ça vive le foot.... enfin plutôt, vive les supporters.....

pouet pouet a écrit:ouais j'ai vu ça vive le foot.... enfin plutôt, vive les supporters.....

oui j'prefere ... parce que les amalgames ...

voui voui c'est pour ça que j'ai précisé

mouais

D'ailleurs je ne vois pas vraiment comment on peut les appeler des supporters ...

parce que le mot supporter est devenu synonyme de dégénérés violents ... alors qu'à la base il s'agit juste d'encourager une équipe

Le problème c'est que tous les supporters ne sont pas comme ça

grognonjc a écrit:Le problème c'est que tous les supporters ne sont pas comme ça

ben heureusement !!!!

vi ms le terme "hooligan" est pas rentré ds la langue française ... alors du coup le terme supporter désigne souvent les hooligans

Faudrait quand même qu'ils se décident à faire vraiment quelque chose pour lutter contre ça ... z'ont qu'à copier sur les anglais ... pour une fois ...

Mamzelle Bulle a écrit:vi ms le terme "hooligan" est pas rentré ds la langue française ... alors du coup le terme supporter désigne souvent les hooligans

Ils devraient les appeler les connards ...

grognonjc a écrit:

Mamzelle Bulle a écrit:vi ms le terme "hooligan" est pas rentré ds la langue française ... alors du coup le terme supporter désigne souvent les hooligans

Ils devraient les appeler les connards ...

vi mais du coup ça engloberait trop de monde ... on saurait plus de qui ils parlent!

Ben ... "les connards qui viennent au stade mais pas pour le sport" alors ...

trop long pour des journalistes ça ... pi les nuances c'est pas leur fort

les PSGistes ?

moui mais nan ... y'a les omiens qui bousillent des mains de pompier aussi

dissolution de ces clubs !!!!



a mort les cons et ceux qui les "proteges" !!!!

allez ascesson !!!!

les Psgomiens ?

faf du ballon rond

Dangereux parfois les tripatouillages génétiques ...

of du jour:


« On n'est pas des terroristes ! »
« Lundi, Samira était heureuse avec ses amis au Sacré-Coeur. Même chose pour son frère Nacer, élève au collège Racine. Leur mère Fatia, interdite de travailler, vaquait à ses occupations dans son appartement de Balzac. Et puis subitement, mardi matin, à 6 h, tout s'est emballé. La veille, le préfet s'était souvenu que ces trois Algériens, arrivés légalement en France, n'étaient plus en « situation régulière ». Leurs permis de séjour étaient expiré. Quelle faute grave. Sans doute très grave ! Au point de faire intervenir au domicile de cette famille tranquille une demi-douzaine de policiers, dont certains ont peut-être un fils ou une fille dans la classe de Samira ou de Nacer. »

« Injonctions d'ouvrir la porte, coups de pieds, menaces, serrurier. Au bout d'une heure trente, la mère et ses enfants ont cédé. Ils étaient aussitôt placés en garde à vue. Dans les mêmes cellules qui servent pour les criminels, les dealers, les conducteurs ivres et les chauffards. La garde à vue a duré 12 heures. On n'avait pourtant rien à leur faire avouer. Puis, on les a séparés du mardi 19 h 30 au mercredi 14 h 30. Elles n'étaient plus dans des geôles, mais dans des cellules de rétention : petites pièces froides, avec un lit, une couverture, une table vissée au sol et un coin toilette. « Je ne comprends pas », pleurait Samira, c'est pourtant moi qui a été frappée il y a un mois. » « On n'est pas des terroristes ! », suffoquait Fathia. En les voyant dans cet état, j'ai eu honte de mon pays. »

« Fathia, Samira, Nacerredine, vous avez sous doute eu le tort de vous plaindre de pressions et de violences exercées par des brutes qui vous menacent depuis plusieurs mois et dont l'une d'entre elles t'a violemment frappé, Samira. Mercredi midi, quand elles sont arrivées au palais de justice menottées, les deux femmes étaient abattues. Quand elles ont entendu ce magistrat leur parler avec douceur et respect, elles ont compris qu'elles allaient enfin être entendues. La juge a suspendu l'arrêté de reconduite à la frontière que le préfet avait pris la veille. Elle laisse le temps au tribunal administratif d'examiner cette drôle d'histoire qui ne fait sourire que deux hommes. Comme la justice n'a pas l'habitude d'étouffer les affaires, l'un d'eux au moins comparaîtra devant le tribunal pour s'être acharné à coups de poings et à coups de pieds un samedi sur Samira. La lycéenne et sa famille ont, elles, largement payé le salaire de la peur. »


Jean-Jacques REBOURS.

Ouest-France





bel article missieur rebours

moi aussi j'ai honte !!!

pu**** !! c'est quoi ce délire ????

???

petit retour en arriere
jeudi 7 decembre



Fathia et Samira ne sont pas expulsées
Le juge des libertés et de la détention a assigné à résidence la famille algérienne menacée d'expulsion. La décision a été rendue sous les applaudissements de centaines de personnes.
Très émues, Samira et sa maman Fathia savourent leur victoire judiciaire.

« Le tribunal ne vous maintient pas en rétention administrative. Vous êtes assignées à résidence. Le tribunal a pris cette décision parce que vous avez un passeport valide, vous présentez des garanties de représentation, vous avez un logement, vous êtes insérées... Et nous n'avons pas de mauvais renseignements sur vous... » Fait assez rare au tribunal de Saint-Brieuc : c'est sous un tonnerre d'applaudissements que la décision a été rendue mercredi après-midi dans une salle trop petite pour accueillir les centaines de personnes mobilisées aux côtés de cette famille algérienne. « Nous sommes soulagées. Après cette garde à vue très éprouvante, l'espoir est revenu. Nous avons confiance en la justice française. » Dans le hall du palais, des centaines de personnes, dont beaucoup de lycéens du Sacré-Coeur où est scolarisée Samira et des collégiens de Racine attendent en bas de l'escalier les deux femmes. Il y a aussi des profs et des militants. Quelques minutes auparavant dans la salle d'audience pleine à craquer, des élèves ont suivi les débats. Sans jamais intervenir. Exemplaire. Avant l'arrivée de Samira et de sa maman encadrées par des policiers, l'émotion est vive. Des larmes coulent sur le visage de lycéennes. Mais au fil de la plaidoirie de Me Rault-Maisonneuve, la salle prend confiance.

« Ce monsieur n'est pas crédible »

« L'arrêté de reconduite à la frontière du préfet a été motivé par les dires de son mari qui a dénoncé un mariage blanc, précise l'avocate de la famille. Ce monsieur n'est pas crédible : il veut juste nuire à son épouse. Il battait régulièrement sa femme. Elle a travaillé chez son meilleur ami au bar d'Alger qui terrorisait tout le quartier Balzac. Elle a été licenciée. Ce dernier a été condamné à quatre mois de prison pour une affaire de violences. Et il doit comparaître devant le tribunal de police pour avoir fracturé le nez de Samira. Le préfet a été mal renseigné. » Fermez le ban. Pour l'avocate, il n'y a pas de mariage blanc. « Monsieur ne peut pas demander le mariage blanc puisqu'il est bigame. » Me Rault-Maisonneuve estime que la procédure de nullité du mariage engagée par son mari ne tient pas. « Il s'agit d'une femme qui a les moyens juridiques pour divorcer. » L'avocate obtient donc l'assignation à résidence de ses clientes.

Depuis mardi matin, elles étaient en garde à vue, puis en rétention administrative au commissariat. Le juge des libertés et de la détention n'a donc pas suivi le préfet qui demandait le maintien en rétention de la famille algérienne avant son expulsion du territoire. L'avocate va maintenant déposer devant le tribunal administratif un recours en annulation de l'arrêté du préfet. En attendant, elles restent vivre à Saint-Brieuc avec l'obligation de pointer tous les jours au commissariat. Après avoir passé plus de deux heures après l'audience dans les locaux du commissariat « alors que la décision était exécutoire immédiatement », elles ont été raccompagnées chez elles par des militants.


Jean-Yves HINAULT.

Ouest-France

NANTES, Loire-Atlantique (Reuters) - Le cadavre d'un homme de type nord-africain a été repêché dans un canal du centre de Nantes par des sapeurs-pompiers plongeurs à la recherche d'un ouvrier tunisien disparu depuis le 22 novembre dernier, apprend-on de source policière.

Taoufik el-Amri avait disparu après une brève interpellation par trois policiers dans le centre de la ville. Ces derniers ont été placés en garde à vue mardi, a-t-on précisé de même source.




Un homme vivant sur une péniche sur ce canal avait remis à la police lundi des papiers appartenant à Taoufik el-Amri, notamment sa carte d'identité et sa carte bancaire.

Il dit les avoir trouvés le 24 novembre, a rapporté le procureur de la République de Nantes, Stéphan Autin, lors d'une conférence de presse tenue avant la découverte du corps.

Trois policiers enquêtant sur un vol à l'arraché, avaient interpellé Taoufik el-Amri dans le centre de Nantes, alors qu'il sortait d'un bar avec deux amis.

Après l'avoir brièvement interrogé et constaté qu'il ne correspondait pas au signalement, les policiers disent l'avoir remis en liberté. L'homme n'était depuis lors plus réapparu.

Deux jeunes filles affirment avoir vu les policiers relâcher l'ouvrier tunisien, mais à plusieurs centaines de mètres de l'endroit indiqué par les fonctionnaires.

Le procureur de la République a expliqué avoir confié une enquête préliminaire à l'Inspection générale de la police nationale "pour être précisément informé sur les incohérences qui ont été relevées dans les déclarations des trois fonctionnaires", déclarations selon lui "contradictoires".

Me Gilbert Collard, avocat de Priscilla el-Amri, épouse du disparu, a dénoncé les "invraisemblances" de l'enquête et condamné le "dédain" avec lequel ont été traités, selon lui, les membres de la famille.

"La police a perquisitionné le domicile (de la famille), mais ne s'est même pas donné la peine de l'informer de l'évolution de l'enquête", a déclaré l'avocat, qui a souhaité que l'enquête soit confiée à la gendarmerie.

"Je n'ai aucun élément qui me permettrait d'affirmer que les policiers sont impliqués dans une bavure. En revanche, j'ai toutes les raisons du monde de penser, à travers ce qu'on sait du dossier, qu'il s'est passé quelque chose de dangereusement ambiguë et équivoque", a-t-il également déclaré à la presse.