La Ruda - Grand Soir
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La Ruda - Grand Soir
Le mois de Mars serait-il le mois des Angevins ? Après Lo’Jo et Cosmophono, c’est au tour de la Ruda de nous présenter son nouvel opus, Grand Soir.
Un album qui démarre fort avec Go to the Party, hommage détonnant à un père infâme (He’s dead Daddy/Go to the party/le ciel nous l’a pris/demain nous sourit).
On continue avec Eddie voit rouge – ça doit pas être facile de s’appeler Eddie, d’ailleurs, « lui il aurait voulu s’appeler Johnny »…
Des personnages haut en couleur apparaissent de-ci de-là : Lucile, le mythique Gordon Banks, même Elvis et Jésus ont droit à leur heure de gloire (Padam Elvis).
A la légèreté des personnages se mêle un regard plus grave sur la société (Dans la même rue, Quand le réveil sonne). Des textes osés, qui raillent l’état-providence (Fantomas 2008), remettent à leur place les égocentristes que nous sommes tous un jour ou l’autre (Si tu allais), nous rappellent que l’homme n’est rien et que sa vie ne tient pas à grand-chose (Depuis ce jour)…
Musicalement, le tout est en place.
Des accords de cordes font leur apparition (Depuis ce jour, Go to the party, curieusement, mes deux morceaux favoris), les cuivres pétaradent en se mêlant à la belle rythmique des guitares, c’est frais, dynamique, agréable à l’écoute.
Flirtant avec la chanson, le swing, des mélodies rock, Grand Soir nous démontre que La Ruda, après 15 années d’existence, n’a rien perdu de son énergie et a toujours des choses à dire !
Un album qui démarre fort avec Go to the Party, hommage détonnant à un père infâme (He’s dead Daddy/Go to the party/le ciel nous l’a pris/demain nous sourit).
On continue avec Eddie voit rouge – ça doit pas être facile de s’appeler Eddie, d’ailleurs, « lui il aurait voulu s’appeler Johnny »…
Des personnages haut en couleur apparaissent de-ci de-là : Lucile, le mythique Gordon Banks, même Elvis et Jésus ont droit à leur heure de gloire (Padam Elvis).
A la légèreté des personnages se mêle un regard plus grave sur la société (Dans la même rue, Quand le réveil sonne). Des textes osés, qui raillent l’état-providence (Fantomas 2008), remettent à leur place les égocentristes que nous sommes tous un jour ou l’autre (Si tu allais), nous rappellent que l’homme n’est rien et que sa vie ne tient pas à grand-chose (Depuis ce jour)…
Musicalement, le tout est en place.
Des accords de cordes font leur apparition (Depuis ce jour, Go to the party, curieusement, mes deux morceaux favoris), les cuivres pétaradent en se mêlant à la belle rythmique des guitares, c’est frais, dynamique, agréable à l’écoute.
Flirtant avec la chanson, le swing, des mélodies rock, Grand Soir nous démontre que La Ruda, après 15 années d’existence, n’a rien perdu de son énergie et a toujours des choses à dire !
Sandrine- Les Grosses Papilles
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Re: La Ruda - Grand Soir
(Depuis ce jour, Go to the party, curieusement, mes deux morceaux favoris)
Idem avec en 3ème position "Padam Elvis".
J'aime beaucoup l'ambiance un peu retro américaine qu'ils ont su construire autour ce cette album.
En live "Go to the party" doit bien être jouissive.
Jerem- Les Grosses Papilles
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Date d'inscription : 12/07/2007
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