AGORA FIDELIO - Les illusions d'une route - Bagdad
Page 1 sur 1
AGORA FIDELIO - Les illusions d'une route - Bagdad
Agora Fidelio présente aujourd’hui Bagdad, le second volet de son triptyque, Les Illusions d’une route. La formule reste la même, 6 titres réalisés en autoproduction.
L’entrée en matière se fait tout en douceur avec le premier morceau, Drapeau blanc. Façon de poser le décor ? Le ton monte pourtant très vite, laissant exploser la rage et la violence (Chaos debout).
Allers retours incessants entre riffs saturés et atmosphères planantes, les mélodies prennent leur envol, nous replongeant dans l’univers si particulier des Toulousains.
La sensibilité omniprésente est mise en exergue par le chant à la fois exalté, mélancolique et rageur.
Les propos dénoncent l’absurdité de la guerre, avec ses ravages et ses conséquences désastreuses et se terminent par un constat amer avec J’ai vu, titre qui clôture l’EP.
Agora Fidelio réussit avec Bagdad à rendre palpable la noirceur du monde, nous engouffrant dans ses méandres pour mieux nous interpeller.
Profond, tout en contrastes, poussant la noirceur à son paroxysme, allant même jusqu’à la rendre belle, Bagdad happe l’attention de l’auditeur de la première à la dernière note.
Sandrine PALINCKX
www.facebook.com/agorafidelio
L’entrée en matière se fait tout en douceur avec le premier morceau, Drapeau blanc. Façon de poser le décor ? Le ton monte pourtant très vite, laissant exploser la rage et la violence (Chaos debout).
Allers retours incessants entre riffs saturés et atmosphères planantes, les mélodies prennent leur envol, nous replongeant dans l’univers si particulier des Toulousains.
La sensibilité omniprésente est mise en exergue par le chant à la fois exalté, mélancolique et rageur.
Les propos dénoncent l’absurdité de la guerre, avec ses ravages et ses conséquences désastreuses et se terminent par un constat amer avec J’ai vu, titre qui clôture l’EP.
Agora Fidelio réussit avec Bagdad à rendre palpable la noirceur du monde, nous engouffrant dans ses méandres pour mieux nous interpeller.
Profond, tout en contrastes, poussant la noirceur à son paroxysme, allant même jusqu’à la rendre belle, Bagdad happe l’attention de l’auditeur de la première à la dernière note.
Sandrine PALINCKX
www.facebook.com/agorafidelio
Sandrine- Les Grosses Papilles
-
Nombre de messages : 361
Age : 52
Localisation : Var
Humeur : tranquille
Hobby : musique, musique, musique!!!!!
Points : 10576
Date d'inscription : 14/01/2008
Sujets similaires
» Agora Fidelio - Les illusions d'une route - Barcelone
» l'agora des livres
» Illusions
» illusions d'optique
» Illusions optiques
» l'agora des livres
» Illusions
» illusions d'optique
» Illusions optiques
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|