Anti Sarko

oausi on fait je pense qu'on est du meme avis mais on l'exprime pas pareil

Mouais... je propose d'excommunier RastaLion69 du forum dans le doute...

15 jours de privation, au pain sec et A L'EAU


Tiens jvais aller m'en jeter un ptit moi...

attend moi je t'accompagne .......

Rastalion69 a écrit:oausi d'accord avec toi mais c'est pas un arguments de critique justifier non ? tous le monde picole non ?

ensuite qu'il aille ce la couler douce sur un yacht si j'avais des potes qui m'en ferai profiter je me generais pas ! ce qui est critiquable c'est plus sa mains mise sur les medias, grosse entreprise .......
en fait c'est comme quand moi je me tape l'inscrust chez un pote qu'a une piscine mais a un autre niveau !

Non non ...

Facile non ?

si le cadre ne te plait pas, ben tu le changes ...

ça me fait gerber

m'fait peur ce connard !

s'truc de ouf !

bienvenue en dictature (si j'ai tous compris hein les cours de politiques c'est loin)

si vous trouvez que avez le sommeil trop paisible et que vous avez envie de cauchemarder un peu lisez ça
le dossier qui perd? qui gagne?
ça reste en ligne une semaine

Nul doute que tout le monde va en profiter

Mamz a écrit:si vous trouvez que avez le sommeil trop paisible et que vous avez envie de cauchemarder un peu lisez ça
le dossier qui perd? qui gagne?
ça reste en ligne une semaine

Et oui ... tout ça est d'une logique implacable ...

Je me le suis lu ce matin au réveil, ce nouveau numéro de l'Obs... effectivement, avant de se coucher ça n'aurait pas été prudent.

Les articles sur bosser plus... pour ceuxqui bossent, sur la justice et sur la TVA sociale, ça déchire.

Ca confirme une chose : hors la récupération des thèses Lepénistes et donc de son électorat de racailles réactionnaires ultra-sécuritaires et méga-cathos-ultras, pas plus de 10% des électeurs auraient eu intérêt sur les thèmes sociaux à voter Sarko ou UMP.

On sait sonc par qui et quoi on est gouvernés : la populisme in les électeurs et les idées de Le Pen, l'appat du gain poussé à son paroxysme in les actionnaires, cadres et patrons des entreprises privées, le délire anti mixité/anti "pas comme nous" avec des vrais morceaux de néo-cons américains dans le corps.

Tout ça dans une marionnette sous exta d'à peine 1M56 !!! encore une merveille de la miniaturisation.

Ce qui me désole : ceux qui n'ont pas eu leur mot à dire et qui sont toujours au front des décisions politico-économico-populistes vont souffrir de tout ça.
Le seul truc qui me rassure : ceux qui ont fait l'énocomie de leur intelligence au moment d'aller voter contre Sarko mangeront aussi chaud que les autres... il y a donc beaucoup d'abstentionnistes dogmatiques ou d'électeurs UMP qui vont eux aussi en prendre rapidement plein la gueule. Ca ne changera rien pour ceux que je défends, mais des fois ça fait du bien de savoir que les coupables se sont auto-punis.
[Cette réflexion ne vaut pas pour ceux qui pratiquent un abstentionniste actif, en agissant au quotidien à la recherche et à la mise en force de solutions palliatives)]

j'ai lu aussi...et ça me conforte dans l'idée de ce qui nous attend pendant 5 ans au moins.....fait chier !

Pas mieux

a force de prendre les gens pour des buses !!!

bien fait pour sa tronche !!!!




Juppé aux journalistes : "Si je pouvais crever,
vous seriez contents"

NOUVELOBS.COM | 18.06.2007 | 17:30

4 réactions



Le maire de Bordeaux s'est refusé à commenter sa défaite électorale. "C'est la curée. Ils veulent savoir si je vais mal", a-t-il dit à son entourage. Il devait donner sa démission dans la journée, que Nicolas Sarkozy pourrait refuser, selon Eric Besson.





Alain Juppé quitte le bureau de vote le 17 juin 2007 à Bordeaux (AFP)
Le maire de Bordeaux Alain Juppé a assisté lundi 18 juin à l'inauguration du salon des vins et spiritueux Vinexpo à Bordeaux et s'est refusé à tout commentaire, au lendemain de sa défaite aux élections législatives dans la 2è circonscription de Gironde.

"J'ai dit ce que j'avais à dire hier soir, je ne dirai rien de plus aujourd'hui", a-t-il indiqué aux journalistes qui se pressaient autour de lui.

"C'est la curée. Ils veulent savoir si je vais mal", a dit Alain Juppé, le visage fermé et l'air tendu, à son entourage avant les discours officiels d'ouverture du salon, en présence de la ministre de l'Agriculture, Christine Lagarde.

"Ce que vous voulez, c'est que j'aille très très mal, c'est cela qui vous exciterait. On sent une délectation amusante", a-t-il lancé, amer, à des journalistes. "Si je pouvais crever, vous seriez contents", a-t-il ajouté.


Démission dans la journée

Alain Juppé a ensuite prononcé le discours inaugural soulignant que "Vinexpo est un événement majeur". C'est "un coup de projecteur pour Bordeaux qui bénéficie ainsi d'une renommée internationale sans égale", a-t-il poursuivi.

"Le vin fait partie de notre patrimoine. A Bordeaux, nous savons boire avec modération. Je souhaite un grand et franc succès à ce 14è Vinexpo", a-t-il lancé.

Alain Juppé a été battu dimanche face à la candidate socialiste Michèle Delaunay qui a réuni 50,93% des voix à Bordeaux.

"Je présenterai dès demain matin au président de la République et au Premier ministre ma démission des fonctions de ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables", avait indiqué Alain Juppé dès dimanche soir.

"S'agissant de mon mandat municipal, je réunirai dans les prochains jours mon équipe municipale et nous déciderons ensemble de ce qu'il convient de faire", avait-il ajouté.

Selon un proche d'Alain Juppé, le ministre devrait se rendre à Paris dans la journée.


Sarkozy "capable de transgression"

Le secrétaire d'Etat chargé de la Prospective et de l'Evaluation des politiques publiques Eric Besson a déclaré de son côté que "la règle" de démission d'un ministre non élu aux législatives "n'était pas mécanique", et que Nicolas Sarkozy était "capable de transgression".

"Il y a cette tradition française, elle n'est pas mécanique" même si "la règle du jeu avait été rappelée avant l'élection", a souligné Eric Besson sur RMC-Info/BFM TV. "Nicolas Sarkozy est capable de transgression sur un certain nombre de sujets: il peut le faire sur ce point".

Martelant que "cette tradition républicaine n'a absolument rien de mécanique", l'ancien membre du PS "pense que Nicolas Sarkozy a cette clé entre les mains et modestement il ne va pas (lui) demander (s)on avis".

La démission d'Alain Juppé du ministère de l'Ecologie "est une perte pour le gouvernement, et probablement pour notre pays", a observé Eric Besson, qui a salué la déclaration du député sortant de Bordeaux, "d'une dignité et d'une sobriété absolues". "Il y a eu dans cette déclaration un modèle d'élégance et de respect de la tradition républicaine".

"Très triste" de la défaite d'Alain Juppé, Roselyne Bachelot a assuré sur France Inter que sa démission était acquise et qu'"il sera remplacé", sans pouvoir donner le nom de son successeur. La ministre de la Santé a également rendu hommage au ministre de l'Ecologie sortant, "un homme politique majeur de notre pays". (avec AP)

pis ca aussi !!!





Borloo serait contraint de quitter Bercy

NOUVELOBS.COM | 18.06.2007 | 18:22

26 réactions



Pour avoir laissé entrevoir une hausse de la TVA, le ministre de l'Economie est jugé responsable du sursaut à gauche au second tour des législatives. Nicolas Sarkozy et François Fillon lui auraient proposé de succéder à Alain Juppé au ministère de l’Ecologie.






Jean-Louis Borloo


(c) Reuters
Confronté à la nécessité d’un remaniement de plus grande ampleur après la défaite d’Alain Juppé lors des élections législatives à Bordeaux, Nicolas Sarkozy et François Fillon auraient proposé à Jean-Louis Borloo de lui succéder au ministère de l’écologie, du développement et de l’aménagement durable. "Il n’a pas le choix", confiait dans la journée de lundi à Challenges (groupe Nouvel Observateur) un proche conseiller de Nicolas Sarkozy. Parmi les hypothèses évoquées pour remplacer Jean-Louis Borloo à Bercy, celle de confier une partie de son portefeuille à Matignon, sous la houlette de François Fillon, revenait aujourd’hui avec insistance.

"Il nous a fait perdre 50 députés"


Si ces arbitrages se confirment, ils sanctionneront ce que, dans les allées du pouvoir, on appelle depuis ce matin "l’effet Borloo", jugé responsable de l’inattendue vague rose du second tour des législatives. "Il nous a fait perdre 50 députés", confiait-on à l’Elysée. Le ministre de l’Economie a en effet largement contribué à valider la thèse d’une augmentation de la TVA après les élections, alors que durant toute sa campagne le président de la République avait plaidé en faveur des baisses d’impôts.

Le soir du premier tour, sur TF1 puis sur France 2 Jean-Louis Borloo s’est laissé entrainer par Laurent Fabius sur le terrain glissant de la TVA. Loin de démentir catégoriquement le fait qu’une hausse de TVA viendrait financer les dépenses du programme de Nicolas Sarkozy, et d’établir un distinguo clair et compréhensible entre TVA tout court et TVA sociale, compensée par une baisse de charges, il s’est contenté de répondre que cette mesure était à l’étude. Les socialistes ont trouvé là un formidable slogan de campagne. "Le moins qu’on puisse dire, c’est que Borloo n’a pas éteint l’incendie", constatait-on à l’Elysée.


"Une erreur majeure de communication"


Le sujet est d’autant plus sensible qu’il vient en écho de ce qui s’est passé en 1995. Jacques Chirac avait plaidé en faveur d’une augmentation de la feuille de paie et au final il y a eu hausse de la CSG , de la TVA, de l’ISF… Sur les marchés, les candidats de droite n’ont pu que constater les ravages faits par cette hypothétique augmentation, d’autant que François Fillon a évoqué le chiffre de 5%.

Dès dimanche soir, Renaud Dutreil déclarait que Jean-Louis Borloo allait "devoir s'expliquer" sur le projet de TVA sociale, "une erreur majeure de communication" qui a selon lui fait perdre "beaucoup de voix" à l'UMP et a "inquiété" les Français.


Le cancre du gouvernement


Le ministre des Finances n’en est pas à son premier écart. Le 4 juin, à Bruxelles, lors de son premier "Eurogroupe" face aux critiques des grands argentiers, il est parti sans se donner la peine de rassurer le Premier ministre luxembourgeois et président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet et le commissaire aux affaires économiques, Joaquin Almunia qui s’inquiétaient de la volonté affichée de la France de marquer une pause dans l’effort de réduction des déficits. Provoquant gêne et stupeur.

En quelques mois, Jean-Louis Borloo est passé du statut de premier ministre potentiel et même de candidat putatif à la présidence de la République, à celui de cancre du gouvernement Fillon. On louait sa loi de cohésion sociale, sa fibre populaire, aujourd’hui on raille sa désinvolture, et ses "gaffes". D’où un probable changement d’affectation qui ressemble fort à une sanction.


Ghislaine Ottenheimer
(journaliste à Challenges, groupe Nouvel Observateur)

mortimers a écrit:pis ca aussi !!!





[b]Borloo serait contraint de quitter Bercy

oui j'ai entendu aussi qu'il pourrait etre remplacé par un patron d'assurance ... un grand patron pour s'occuper des chomeurs ... on va déguster

au canada les chomeurs !!!!

c'est nigozen qui va s'en occuper !!!
























































je plaisante mamz', c'est boutade

bah si il me paye le billet pr le quebec ... j'y vais ...

Mamz a écrit:

mortimers a écrit:pis ca aussi !!!





[b]Borloo serait contraint de quitter Bercy

oui j'ai entendu aussi qu'il pourrait etre remplacé par un patron d'assurance ... un grand patron pour s'occuper des chomeurs ... on va déguster

Je crois que c'est de lui dont tu parles Mam'z

http://www.axa.com/fr/presse/biographies/directoire/decastries/

viiiii axa! donc ça doit etre lui ... enfin il est président d'axa atouts coeur ... ça doit etre un grand humaniste

Axa Atout Coeur

http://axafrance.axa.fr/AXAEntreprise/AXAentrAACfrance.aspx

Mamz a écrit:viiiii axa! donc ça doit etre lui ... enfin il est président d'axa atouts coeur ... ça doit etre un grand humaniste

Et surtout :

1984 à 1989
Ministère des Finances - Direction du Trésor

1980 à 1984
Ministère des Finances - Inspection des Finances

1980
ENA, promotion Voltaire

si il me demande gentillement je veut bien moi !

SUPER !! si on se fait choper à l'alcolotest, suffit de dire qu'on vient de grimper un peu vite dans sa voiture et le tour est joué !!!

Mais il se fout de la gueule du monde, vraiment... comme si un sportif de très haut ( ) niveau comme lui pouvait être essouflé.

Et comme si ils prenaient les escaliers au G8 !!

Vidéo de Sarkozy au G8 : la faute aux escaliers

Le président français s'est expliqué mercredi sur les images diffusées sur internet et abondamment commentées de son arrivée à une conférence de presse au G8 après un entretien avec Vladimir Poutine. Il n'était pas ivre mais "en retard" et avait "donc monté les escaliers quatre à quatre".

"J'étais en retard, j'ai donc monté les escaliers quatre à quatre. Je n'avais rien de particulier à dire. J'ai donc demandé s'il y avait des questions. Je ne bois pas une goutte d'alcool. Je n'ai pas de mérite : je n'aime pas cela".

Les images avaient été diffusées par la télévision française mais c'est la RTBF qui avait créé le buzz, le présentateur d'un JT affirmant à l'antenne que le président français n'avait pas "dû boire que de l'eau" lors de sa rencontre avec son homologue russe. Le journaliste s'était par la suite excusé. Plus d'un million de personnes avaient vu la vidéo en moins d'une semaine sur Youtube.

mouais ça passerait encore cette excuse s'il avait juste eu du mal à causer ... m'enfin il souriait qd meme d'une manière bien bétasse et a retenu un rototo

Mamz a écrit:bah si il me paye le billet pr le quebec ... j'y vais ...

Ah ben tu vois que tu raisonne comme moi! héhé !!

ca sert a quoi ses footings s'il est naze a monter les escaliers???

il nous prend juste pour des cons....

Service minimum: le droit de grève mis à mal, selon les syndicats
Par Anne-Pascale REBOUL



PARIS (AFP) - L'avant-projet de loi-cadre sur un service minimum dans les transports, présenté jeudi aux partenaires sociaux, les presse de négocier sous peine d'une "application autoritaire" au 1er janvier 2008, et risque de mettre à mal le droit de grève, selon la quasi-totalité des syndicats.
Le ministre du Travail Xavier Bertrand a reçu jeudi un à un les syndicats et le patronat, qui auront jusqu'au 4 juillet, jour de la présentation du texte en Conseil des ministres, pour proposer des amendements.

"Sur quelques dossiers sociaux en ce moment, on va vite!", s'est exclamé Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO.

Dès mercredi soir, Nicolas Sarkozy avait révélé les grandes lignes de l'avant-projet, soulignant que "toutes les entreprises de transport seront obligées d'avoir un plan de transport minimum les jours de grève".

Le texte qui doit être voté cet été par le Parlement prévoit des négociations obligatoires dans les entreprises de transport public sur la prévention des conflits, un volet bien accueilli par les partenaires sociaux.

Mais après le 1er janvier 2008, un décret en Conseil d'Etat fixera "de manière autoritaire" un service minimum pour les entreprises où la négociation aura échoué, ont déploré les syndicats qui réclament davantage de temps.

A l'exception de la CFE-CGC, tous se sont élevés contre les contraintes qui devraient être imposées par la loi dans l'organisation du service public en cas de grève, deuxième volet du texte.

Deux points cristallisent l'opposition des syndicats: la déclaration deux jours à l'avance des grévistes et le vote à bulletin secret au bout de huit jours de grève.

Pour la CGT-cheminots, le président a "la volonté de contraindre un peu plus le droit de grève et de l'interdire à terme".

La CFTC y voit "une première étape" dans la remise en cause de ce droit constitutionnel et individuel.

La CFDT se félicite que le gouvernement ne prévoit pas "de réquisition" des grévistes, mais juge que le droit de grève est "mis sous tutelle" par ces dispositions.

A propos de la déclaration des grévistes à l'avance, "vous imaginez les pressions que pourra recevoir ce salarié dans le service en fonction de ce qu'il pourra répondre", a déclaré M. Mailly pour FO. "Qui plus est, s'il refuse de répondre, il pourrait avoir des sanctions".

La consultation au bout de huit jours risque aussi de "mettre en opposition" les salariés, selon lui.

La Fgaac, deuxième syndicat chez les conducteurs de la SNCF, s'est elle inquiétée de la disposition prévoyant l'utilisation de personnels non grévistes "sur des lignes ou des locomotives qu'ils ne connaissent pas", qui pourrait mettre en danger la sécurité des passagers.

Sud-Rail a très mal pris que Nicolas Sarkozy "laisse entendre" que les salariés des transports étaient payés quand ils faisaient grève, ce qui n'est le cas ni à la RATP, ni à la SNCF, ni dans les transports urbains affiliés à l'UTP (transports de province).

Le principe du non-paiement des jours de grève est réaffirmé dans l'avant-projet.

Côté patronal, Laurence Parisot (Medef), s'est dite "très satisfaite" d'un texte "respectant à la fois les droits des salariés et des usagers" et permettant que l'économie "ne soit pas bloquée" en cas de conflit.

faut dire quand meme que la sncf ratp tous les transport commun en ont pas mal abuse ces derniere année !

apres je suis pour le droit de greve quand emme hein

Sud-Rail a très mal pris que Nicolas Sarkozy "laisse entendre" que les salariés des transports étaient payés quand ils faisaient grève, ce qui n'est le cas ni à la RATP, ni à la SNCF, ni dans les transports urbains affiliés à l'UTP (transports de province).

c'est hallucinant de manipuler l'opinion à ce point ... et hallucinant aussi que les gens se laissent prendre ... vraiment un pays de débiles profonds qui gobent tout et n'importe quoi

merde de merde de merde j'en fait partie de ce tas de debiles profond qui gorbent n'importe quoi .....

nan sérieux???? tu croyais qu'ils étaient payés???

ouasi mais j'ai le pere d'un pote qui trvaille au transport en commun lyonnais (tcl) et qui etait payé quand il faisait greve (du moins quelque jours )

alors a pres c'est vrai qu'on fait vite des generalité

desole mais a ma connaissance personne n'a jamais ete paye pendant une greve...par contre la negociation post greve peut en effet permetre le paiement de certains jours de greve, le tout etant comme partout le rapport de force qui s'instaure dans l'entreprise...

ne jamais oublier que la greve ne doit etre que le dernier moyen de lutter mais est vraiment [url]le seul [/url] vrai contre pouvoir qu'ont les salaries !!!
c'est bien pour ca qu'il faut etre hypper mefiant sur les nouvelles regles que nigozen veut instaurer...

pour travailler dans un secteur ou le service minimun existe je peux affirmer que cela enleve un gros poid au pouvoir de greve...l'ideal etant bien sur de ne jamais arrive aux greves mais la france a t'elle la culture de la negociation toute l'annee????
l'exemple allemand etant toutafait exemplaire a mon avis, car les greves sont vraiment rare car la negociation est presente tout le temps...on attend tres rarement le dernier moment pour se parler et s'entendre.

je connait pas les details exact dommage

sinon tous a fait d'accord avec toi morti

Politiquement incorrect ?

"marrant" ça ... ils le dégagent des photos par contre ça les gene pas que le gars se présente sous l'étiquette ump aux législatives ... et ils ne l'ont jamais éjecté de l'ump ... quelle hypocrisie

Le taux d'alcoolémie abaissé à 0,2 g par litre ?
Selon Auto Plus, le gouvernement envisagerait de réduire drastiquement le taux d'alcool autorisé au volant. Le ministère dément.
L'hebdomadaire Auto Plus assure dans son numéro paru lundi 25 juin que le ministère des Transports envisage d'abaisser le taux d'alcool autorisé au volant à 0,2 gramme par litre de sang.
Le ministère a démenti cette information.
Le taux admis pour conduire est actuellement de 0,5 gramme par litre de sang. Mais selon Auto Plus, les résultats médiocres de la sécurité routière, depuis le début de l'année, incitent le gouvernement à cette mesure radicale d'abaissement du taux d'alcool à 0,2 g/l.

perso j'suis pour zero au moins se sera clair pour tout le monde !!!
quand on conduit on boit poa !!!

foie de breton !!!

comme morti, 0,2 ca ne rime à rien, soit c'est zero, soit c'est 5 grammes

bien cause ami qui n'a plus de permis

j'avais entendu qq1 d'une assoc de défense des victimes de la route qui disait que c'était débile de descendre la limite et que si les 0.5 g etaient vraiment respecté y"'aurait quasiment aucune difference entre le nombre d'accidents avec un 0.5 vraiment respecté et un 0.2 ... pas clair ce que je raconte mais ds ma tete c'est clair

et re
j'avais pas vu le zero et la virgule avant le 5

Mamz a écrit:j'avais entendu qq1 d'une assoc de défense des victimes de la route qui disait que c'était débile de descendre la limite et que si les 0.5 g etaient vraiment respecté y"'aurait quasiment aucune difference entre le nombre d'accidents avec un 0.5 vraiment respecté et un 0.2 ... pas clair ce que je raconte mais ds ma tete c'est clair

vi mais le prob c'est de savoir ou t'en est quand tu bois...pour moi le plus simple et le moins hypocrite c'est zero...au moins les choses sont clair !!!

mortimers a écrit:

Mamz a écrit:j'avais entendu qq1 d'une assoc de défense des victimes de la route qui disait que c'était débile de descendre la limite et que si les 0.5 g etaient vraiment respecté y"'aurait quasiment aucune difference entre le nombre d'accidents avec un 0.5 vraiment respecté et un 0.2 ... pas clair ce que je raconte mais ds ma tete c'est clair

vi mais le prob c'est de savoir ou t'en est quand tu bois...pour moi le plus simple et le moins hypocrite c'est zero...au moins les choses sont clair !!!

ce que je disais c'etait pour le 0.2 pas pour ton 0 ...

mortimers a écrit:perso j'suis pour zero au moins se sera clair pour tout le monde !!!
quand on conduit on boit poa !!!

tout à fait......0,5 ou 0,2 c'est incité les gens à boire hypocritement